Le 20 octobre 1428, DE MONDERSDORP Bauduin II (seigneur de Montjardin, Geneffe, Jehay, Heyenhoven, voué d’Aywaille et de Remouchamps, châtelain de Waremme), cède à son épouse, DE JEUMONT Marie, toutes les rentes, droitures et émoluments quelconques qu’il possède sur la châtellenie de Waremme.
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Le Conseil de Fabrique récupère des biens (Waremme)
Un arrêté-royal du 20 avril 1833 remet le Conseil de Fabrique de l’Eglise de Waremme en possession de 17 articles de rentes et de biens fonds.
Dépenses à Waremme
En 1771, la ville se fait livrer 22 chartées et 4 chariots de sable pour la réfection des pavés ; elle commande également des briques, du bois, une corde pour la cloche de la ville ; elle fait entretenir le puits de la cité.
Elle verse les rentes du secrétaire BOUX, des échevins, du commissaire DANGLEUR, des conseillers et la pension du Bourgmestre STRACMAN Mathieu.
Création et revenus des églises
Un capitulaire de 818 exige, pour l’érection d’une paroisse, la possession d’un manse (lot de terres) de 12 à 15 bonniers : c’est le patrimoine qu’il faudra rentabiliser, en valoir direct, afin de faire vivre communauté, paroisse et curé. Cette dot peut venir de l’Evêque, d’une abbaye, du Seigneur du lieu ou de la communauté. De ce chef, le donateur détient le droit de patronage de l’église et celui de lever la dîme des fruits de la terre.
En outre, les églises vivront de la dîme et des oblations des fidèles (écot versé à l’occasion des mariages, des décès, …). La viabilité d’une paroisse dépend donc de « fruits », de « rentes » et de « revenus ».