Le repas des Archers de Waremme

Le 5 juin 1816, 47 membres de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme ont payé leur repas.

Guillaume Stevens, Roy de la Confrérie des Archers (Waremme)

En 1813, STEVENS Guillaume est nommé « Roy » de la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme, pour avoir abattu l’oiseau attaché au sommet de la perche. La confrérie comprend 42 membres, dont 32 assistent au repas du mardi de la Pentecôte.

Fête de la Pentecôte par les Archers (Waremme)

A la Pentecôte 1810, RENIER Guillaume est admis à la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme. Les repas des lundi et mardi sont organisés chez DUCHATEAU Joseph. Chaque confrère verse une prébende de 14 sous.

Les Archers fêtent la Pentecôte (Waremme)

Les lundi et mardi de la Pentecôte 1808, la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme organise ses repas chez FRAIPONT Dieudonné. Chacun des trente-trois confrères verse une prébende de 12 sous.

Fête de la Pentecôte par les Archers (Waremme)

En 1795, la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme achète un jambon pour le repas du mardi de la Pentecôte. Le prix est 12 florins, 10 sous.

Modification du règlement à la Confrérie des Archers (Waremme)

Le 22 mai 1740, la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme décide que celui qui abattra l’oiseau recevra 45 sous à la place d’une mesure de froment. Il devra préparer les repas de la fête et recevra, pour cela, un salaire de quatre frans.

Admissions dans la Confrérie des Archers (Waremme)

Le 11 mai 1738, FRAIPONT Guillaume « Le Vieux » et DUCHATEAU Pierre sont admis dans la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme. La Confrérie demande au membre DUCHATEAU de préparer un « honnest diné » pour le jour du tir à l’oiseau et pour les deux jours suivants, comme de coutume.

Les officiels de Waremme se font rembourser des « notes de frais »

En 1702, un officiel de la ville se fait rembourser par la ville les débours qu’il a supportés lors d’un voyage à Mons : frais de malles, de chevaux, de barque (à Huy), de repas, de vin, de logement, de valets, …

La lèpre frappe à Waremme

En 1591, MAKAR Arnuld, bourgeois natif de Waremme, est suspecté d’avoir contracté la lèpre. Le Conseil de la ville décide de le faire examiner à Liège, au dispensaire de Cornillon. C’est BEYNE Robert qui est chargé de l’y conduire. L’examen confirme qu’il est bien atteint de la terrible maladie. Au retour de ce voyage un peu spécial, les deux bourgeois BEYNE Robert et MAKAR Arnuld, soupent à l’Hôtel delle Taxhe.