Le Concordat (France)

napoléon bonaparte

napoléon bonaparte

Certes, le Concordat implique la reconnaissance de la République par l’Eglise catholique, mais dans le même temps, BONAPARTE Napoléon reconnaît que la religion catholique est celle de la « majorité des Français ». Le culte est libre.

Pour faire table rase du passé, les évêques traditionnels ou constitutionnels sont appelés par le pape à démissionner. Le clergé est obligé de prêter serment de fidélité et d’obéissance au gouvernement.

Le pape reconnaît la vente des biens ecclésiastiques mais les églises non aliénées sont mises à la disposition du clergé. Les traitements des ministres des cultes sont pris en charge par l’Etat.

Les évêques, désormais nommés par le premier consul (ils reçoivent l’institution canonique du pape), nomment, à leur tour, les curés parmi des personnes agréées par le gouvernement.

Des diocèses peu nombreux (pour des raisons financières) sont établis dans nos régions. Ils chevauchent diverses régions linguistiques : le diocèse de Malines regroupe la Dyle et les deux-Nèthes ; Liège rassemble les départements de l’Ourthe et de la Meuse inférieure ; le diocèse de Metz regroupe les Forêts, les Ardennes et la Moselle ; enfin, Namur comprend Sambre-et-Meuse, tandis que Tournai correspond au département de Jemappes.

Le clergé marque globalement son adhésion au Concordat, même si comme dans le diocèse de Namur, il y a, dans un premier temps des réticences. Certains religieux persistent dans leur refus du nouvel ordre.

Charles de Gaulle, président (France)

charles de gaulle

charles de gaulle

Le 21 décembre 1958, DE GAULLE Charles est élu président de la République en France.

Habib Bourguiba, président (Tunisie)

habib bourguiba

habib bourguiba

En 1957, BOURGUIBA Habib est nommé président de la République Tunisienne.

« Tito », président (Yougoslavie)

josip broz dit tito

josip broz dit tito

Le 18 octobre 1944, le Maréchal BROZ Josip, dit « Tito », devient président de la République de Yougoslavie.

Ataturk devient président en Turquie

mustapha kemal dit ataturk

mustapha kemal dit ataturk

Le 23 avril 1920, KEMAL Mustapha, dit « ATATURK », devient président de la nouvelle république turque.

Les cloches sont descendues des clochers (Waremme)

En 1797, la République ayant décidé que toutes les cloches des églises devaient être descendues et mises à la disposition du gouvernement. Le Consulat impose que toutes les cloches du Canton soient amenées à Waremme et déposées dans l’ancien couvent des Récollets.

Réorganisation de l’école (Waremme – Belgique)

En 1797, une loi française de 1795 (3 Brumaire de l’An IV) est appliquée en Belgique et dans la région de Waremme.

Elle prévoit la création de nouvelles écoles dans les départements annexés. Les dirigeants républicains veulent, pour le bien-être et la gloire de la République, ériger de nouvelles écoles qui propageront les principes de liberté, d’égalité et où la morale républicaine se substituera au catéchisme. Cette loi prévoit que la nomination des enseignants échappe aux municipalités, qui ne peuvent formuler que des propositions. Cette loi va rencontrer l’opposition d’une part importante de la population, qui reste attachée à l’ancien système scolaire.

Un nouvel « Arbre de la Liberté » est planté (Waremme – France)

Le 22 septembre 1797, le tilleul qui borde l’entrée de la rue de la Porte de Liège (qui deviendra l’avenue Leburton) est planté par l’agent municipal RENIER Jean-Joseph Renier, pour commémorer l’instauration de la République française : d’où son nom : Arbre de la liberté, parfois appelé Arbre de l’Indépendance.

Un premier arbre, planté au même endroit en 1792 a, en effet, disparu dans des circonstances restées mystérieuses.

Première élection municipale à Waremme

Le 5 avril 1797, les citoyens âgés de 21 ans accomplis se réunissent pour nommer les agents municipaux et leurs adjoints. Ces élections ne tournent pas à l’avantage des partisans de la République. BOUX Jean-Gisbert est élu Juge de Paix et DELAHAUT Jean-François président de la municipalité du canton de Waremme.

Fête à l’hôtel de ville (Waremme)

Le 30 mai 1796, une fête est organisée à l’Hôtel de Ville de Waremme en l’honneur des grands succès des armées de la République. Le commissaire BRAIVE prononce un discours.