Jules Linotte, réquisitionné (Waremme)

Le 22 juin 1943, LINOTTE Jules-Désiré-Antoine reçoit l’ordre de réquisition, signé par le bourgmestre de Waremme, de se mettre à la disposition du commissaire de police, le 27 juin 1943 à 21 heures, pour surveiller les plantations de GERITS Albert.

René Craninx, garde rural (Waremme – Bettincourt)

En 1943, CRANINX René de Bettincourt est garde rural à Waremme. Il s’assure que les habitants, qui ont été réquisitionnés pour effectuer des patrouilles nocturnes dans les cultures pour décourager les glaneurs clandestins, remplissent bien leur tâche.

Cette activité déplait fortement à la population. A la Libération, il sera poursuivi pour collaboration avec l’ennemi.

Le retour des gendarmes (Waremme)

En juin ou juillet (?) 1940, lorsque le commandant de la brigade de gendarmerie de Waremme, l’adjudant MARECHAL, revient dans la ville, au terme de la « Campagne des dix-huit jours », il installe le bureau de la brigade au rez-de-chaussée de l’immeuble situé au n° 10 de l’avenue Reine Astrid. En effet, les locaux de la gendarmerie ont été réquisitionnés par la Kommandantur.

Des Allemands au pont du Geer (Waremme)

Le 14 août 1914, une patrouille allemande s’installe au pont du Geer à waremme et réquisitionne de l’avoine.

Des chevaux pour l’armée belge (Waremme – Tirlemont)

Le 9 août 1914, 87 chevaux sont envoyés de Waremme à Tirlemont par chemin de fer, sur réquisition de l’armée belge.

Des chars allemands arrivent à Waremme

erich straube

erich straube

Le 4 septembre 1944, un bataillon de chars de la « Waffen SS » arrive dans la ville de Waremme et prend ses quartiers du côté de la Porte de Liège. Le « château Roberti » est réquisitionné. L’inquiétude est grande : les Allemands ont-ils choisi Waremme et sa région pour baser des forces destinées à défendre la Hesbaye et y freiner la progression des Alliés ? Le général allemand STRAUBE établit un quartier général dans la ferme « GODBILLE » à Hartenge.

Réquisition de la cloche d’Oleye

En septembre 1943, les Allemands réquisitionnent la cloche de l’église d’Oleye. Le curé, l’abbé GODEFROID, tente de s’y opposer, en vain, en dissimulant les clés.

Les cloches de waremme sont réquisitionnées (Allemagne)

Le 15 septembre 1943, les trois cloches de l’église Saint-Pierre de Waremme, Elisabeth, Joséphine et Rosalie, qui avaient été baptisées en 1885, sont réquisitionnées par l’occupant allemand. Elles sont conduites dans l’ancien manège de la gendarmerie, derrière la Kommandantur.

Peu après, pour inviter les fidèles aux offices, on installera dans la tour de l’église, la petite cloche utilisée auparavant à la chapelle du collège Saint-Louis.

Réquisition de la paille et du fourrage (Waremme – Allemagne)

En 1942, les produits agricoles, paille et fourrage, réquisitionnés par les Allemands, sont amenés à la gare de Waremme, par charrette tirée par des chevaux ou des bœufs.

« L’Avenir » réquisitionné (Waremme – Allemagne)

Le 18 août 1941, les établissements « L ‘Avenir », rue Gustave Renier à Waremme, sont réquisitionnés par les Allemands. Ils y resteront jusqu’en février 1943.