Les gendarmes de Waremme déménagent

Début 1941, en raison de l’exiguïté de l’immeubles qu’ils occupent au n° 10 de l’avenue Reine Astrid, les gendarmes la brigade de Waremme déménagent au numéro 17 de la rue Porte de Liège, à côté des « Etablissements Peetermans ». L’étage de cette maison bourgeoise est occupé par le maréchal des logis DE BARQUIN Marcel et sa famille.

L’adjudant MARECHAL, commandant de la brigade, quant à lui, continue à résider avec sa famille à l’avenue Reine Astrid.

La garage de Maurice Thomas réquisitionné (Waremme – Allemagne)

Le 18 décembre 1940, le garage de THOMAS Maurice, avenue Guillaume Joachim à Waremme, est réquisitionné par les Allemands. Ils y resteront jusqu’au 7 septembre 1944.

L’immeuble Vanetveld est réquisitionné (Waremme – Allemagne)

Du 1er juin 1940 au 31 octobre 1940, l’immeuble « VANETVELD », rue du Vicinal, est occupé par les Allemands.

Les locaux Gielen-Honlet réquisitionnés (Waremme – Allemagne)

Le 20 mai 1940, les locaux de Madame GIELEN-HONLET, rue Joseph Wauters à Waremme, sont réquisitionnés par les Allemands.

Le marchand de vins Laval (Waremme)

Le 18 mai 1940, une camionnette est réquisitionnée par les Allemands chez le Marchand de Vins « LAVAL », rue Hubert Stiernet à Waremme.

La maison du docteur Honlet, réquisitionnée (Waremme – Allemagne)

Le 16 mai 1940, des soldats allemands logent dans la maison du docteur HONLET Paul, rue Joseph Wauters à Waremme. Ils y resteront jusqu’au 20 mai.

Le véhicule de l’abbé Rigot, réquisitionné (Waremme – Allemagne)

Le 12 mai 1940, la DKW de l’abbé RIGOT de Longchamps est « réquisitionnée » par les deux officiers et un soldat allemands.

Joseph Piette à la recherche des corps (Lantremange)

Le 12 mai 1940, l’échevin de Lantremange, PIETTE Joseph, qui a assisté de loin, la veille, à l’accrochage meurtrier au carrefour des « Quatre Abias » entre les Allemands et la colonne de militaires belges venant de Pousset, se rend sur les lieux du drame avec sa charrette à bras. Il est à la recherche des victimes encore sur place. Il pousse sa macabre quête jusqu’à l’école de Pousset. Il ramène cinq corps à la maison communale de Lantremange, dont ceux de BOUROTTE François, un garagiste de Spa, et son épouse SERVAIS Augustine. (Celui-ci avait été réquisitionné avec son véhicule pour intégrer la compagnie de transport militaire).

Waremme sur « Pied de Paix Renforcé »

En 1938, pendant la période de « Pied de Paix Renforcé », l’armée réquisitionne à Waremme, les bâtiments de la firme de machines agricoles « DOYEN » (au coin de la Place Rongvaux et de l’actuelle rue des Combattants). Un atelier de réparation du charroi automobile s’y installe. Environ 200 hommes, logés chez l’habitant à Waremme, mais aussi dans toute la région, travaillent jour et nuit à transformer des véhicules civils en engins militaires.

Des troupes belges transitent par Waremme

Le 4 août 1914, vers 2 heures du matin, des troupes belges, sous les ordres du colonel PROOST, pénètrent dans Waremme. Il y a de l’infanterie, de l’artillerie et de la cavalerie. Elles vont rester quelques heures. Des habitants leur apportent des tartines. Les militaires belges réquisitionnent trois têtes de bétail, un camion automobile, des bicyclettes, des chambres à air, des pneus, de nombreux produits de droguerie et de pharmacie.