En août 1944, LAMBERT Joseph est cabinier de l’Association Liégeoise d’Electricité (A.L.E.), à Braives. Son rôle consiste à intervenir chaque fois qu’un problème se pose, soit chez un abonné (ex.: nouveau raccordement, …), soit sur le réseau (ex.: remplacement de fusibles dans une cabine, réparation d’une ligne endommagée par le vent, …).
En novembre 1940, le bijoutier de Waremme, NELIS Gaston, rencontre à Liège le lieutenant RASSART, de Huy, afin de mettre sur pied un réseau de Résistance.
En 1908, la question de l’éclairage public est discutée au conseil communal de Waremme. Les travaux de réalisation sont confiés à la société allemande « Allgemeine Elektricitäts-Gesellschaft » (A.E.G.), qui installe deux génératrice d’électricité.
Cette société s’occupera de l’entretien du réseau et des moteurs jusqu’en 1917.
En mai 1990, des travaux d’égouttage sont en cours à Grand-Axhe. A l’issue de ces travaux, 64 habitations seront liées au réseau d’égouts waremmien.
En juillet 1982, une Maison Communautaire est inaugurée au quartier de la Champanette à Waremme, dans le cadre de la politique de création d’un réseau de centres d’animation de l’administration communale.
Le quartier de la Champanette est composé de 234 logements sociaux et compte actuellement 600 habitants, dont 318 jeunes de moins de 25 ans et 101 personnes de plus de 65 ans.
En juin 1985, le Conseil Communal de Waremme décide de souscrire 223 parts de 1.000 francs dans le capital de la Société Nationale de Distribution d’Eau (SNDE), afin de permettre l’extension du réseau de distribution de la rue des Prés.
Le 28 mars 1983, le Conseil Communal de Waremme décide de souscrire 3.483 parts de la Société Nationale de distribution d’eau (SNDE), afin de permettre l’extension du réseau de distribution d’eau potable au quartier de la Haute Wegge.
En 1961, la première société belge de télédistribution « Coditel » développe des réseaux à Namur, Liège et Verviers.
A partir du milieu du IIIème siècle, la chaussée romaine reprend une importance stratégique. Elle sert d’appui à un réseau de fortifications destinées à contrer les raids des tribus germaniques. Ces fortins ont aujourd’hui disparu.