L’Evêque Notger devient Prince (Liège)

En 980, l’Empereur du Saint-Empire Romain Germanique, OTTON II, confère à l’Evêque de Liège, NOTGER, le privilège d’immunité générale, qui l’institué maître de ses terres et de ses possessions. Il pourra rendre la justice, prélever les impôts, lever des troupe. Il est investi du titre officiel de Prince.

Il nommera une assemblée de prêtres pour le seconder en matière religieuse et politique. Ces prêtres seront appelés « chanoines ». L’assemblée portera le nom de « Chapitre ». Certains de ces chanoines seront dotés d’attributions spéciales:

  • le Doyen: qui veillera à l’application du règlement et à l’observation des règles de la vie canonique;
  • l’Ecolâtre: qui supervisera les écoles;
  • le Chantre: qui enseignera la musique;
  • le Cellérier: qui s’occupera de l’économat;
  • le Costre: qui veillera au mobilier de l’église et de la sacristie;
  • l’Archiprêtre: qui remplira la fonction de curé de l’église Saint-Lambert

Maroie Léale, exécutée (Crisnée)

Le 21 juillet 1591 (1592 ?), LEALE Maroie est étranglée et brûlée à une potence. (Sans doute n’a-t-elle pas respecté le condamnation de bannissement prononcée par la Cour de Justice de Crisnée en juillet 1590).

Délégation liégeoise à Malines

Le 9 février 1674, une délégation de la Principauté de Liège est envoyée à Malines, auprès du Comte DE MONTERY, afin d’obtenir le respect de la neutralité promise par l’Empereur. Elle est notamment composée de:

  • Le Comte DE CORSWAREM Jean II, Comte de Corswarem et Seigneur de Niel
  • Le chanoine DE GROESBEEK
  • Le bourgmestre ROSSIUS

Guillaume de Corswarem et le Pape (Corswarem – Niel)

Le 22 juin 1246, DE CORSWAREM Guillaume ne respectant pas les biens des couvents, le Pape INNOCENT IV prend sous sa protection les biens de l’abbaye de la paix-Dieu situés à Niel et dans les environs.

Guillaume de Corswarem et le Pape (Corswarem)

Le 9 août 1245, DE CORSWAREM Guillaume ne respectant pas les biens des couvents, le Pape INNOCENT IV prend sous sa protection les biens de l’abbaye du Val-Notre-Dame, dont certains sont situés à Corswarem.

Le marguillier de Hodeige

Avant 1595, la marguillerie de Hodeige est à la collation du curé de la paroisse. Celui-ci a le droit de révoquer le marguillier, chaque année, 6 semaines avant la Saint-Jean, temps auquel le marguillier doit remettre aux mains du curé le livre de la marguillerie renfermant les rentes dues à ce sujet.

Le marguillier doit avoir une conduite irréprochable. Il ne doit jamais passer devant l’autel de l’église sans faire une génuflexion d’un genou (quand le Saint-Sacrement n’est pas exposé) et de deux genoux (quand il est exposé). Il doit toujours être propre lorsqu’il assiste aux offices; avoir nettoyé l’église et les autels la veille des solennités et le choeur tous les samedis. Il veille à remettre les ornements et à replier les surplis et aubes après qu’on s’en est servi. Il lui incombe aussi le soin des cloches, d’ouvrir et de fermer les portes de l’église et du cimetière. Il doit savoir parfaitement son chant et chercher les offices. Il doit accompagner le pasteur ou son vicaire dans la visite des malades, tant la nuit que le jour, quand il en est requis. Enfin, il doit porter beaucoup de respect aux ecclésiastiques de la paroisse.

Paul Petitjean, instituteur (Remicourt)

En 1958, PETITJEAN Paul est instituteur à l’école primaire de Remicourt. Il a un air altier et quelque peu austère, renforcé par des lunettes à forte monture de couleur sombre. Il a un timbre de voix franc et ferme qui inspire à la fois crainte et respect aux jeunes enfants. C’est un authentique héros de la Deuxième Guerre Mondiale.

Waremme interpelle la Raffinerie Tirlemontoise

Au printemps 1996, après 4 années d’immobilisme, la ville de Waremme prie la Raffinerie Tirlemontoise de respecter ses engagements et de présenter un programme d’assainissement du site désaffecté de l’ancienne râperie du Fond d’Or.

Contestation sur le compte-rendu des séances (Waremme)

Le 28 novembre 1983, lors du Conseil Communal de Waremme, le conseiller PRL, STRAUVEN Eddy, se déclare particulièrement inquiet de ne pas voir figurer dans le compte-rendu officiel des séances les nombreuses interventions qu’il a faites et qu’il croit très pertinentes.

Le bourgmestre, LEBURTON Edmond, rappelle que, afin de ne pas déprécier la valeur des travaux du conseil, il ne peut être fait mention dans le compte-rendu officiel de tout ce qui s’y dit; celui-ci devant s’attacher à l’essentiel. Il ajoute que la démocratie des débats a toujours été respectée, prenant à témoin COEN Jules et BATAILLE Théophile, dit « Théo », respectivement chef des groupes PRL et PSC.