« Les Sanglots Longs des Violons de l’Automne » (Angleterre – Belgique)

Les 1er, 2 et 3 juin 1944, le message codé « Les sanglots longs des violons de l’automne » est diffusé sur la BBC. Il confirme les messages précédents et annonce à la Résistance que l’heure du débarquement est proche. Il ordonne aux responsables locaux de préparer l’exécution du plan de sabotage (élaboré en concertation avec Londres) destiné à désorganiser l’acheminement de renforts allemands et à retarder leur arrivée sur les plages.

Ce plan consiste à :

  • Couper toutes les lignes téléphoniques.
  • Incendier les dépôts de carburant.
  • Entraver les routes avec des arbres abattus.
  • Couper les voies de chemin de fer.

Une fresque découverte à Aineffe

En octobre 1997, à l’occasion d’une visite de l’église Saint-Sulpice de Aineffe par des responsables du Patrimoine Wallon, en vue de sa restauration, une fresque représentant la scène biblique de « La Fuite en Egypte » est découverte. Elle est datée du XVème ou du début du XVIème siècle.

Les gendarmes enquêtent (Waremme)

A l’été 1940, les gendarmes de Waremme enquêtent sur le vandalisme et les vols qui ont été commis dans les habitations de ceux qui ont fui la ville devant l’arrivée des Allemands, en mai 1940. Il apparaît que ceux-ci ne sont pas les seuls responsables !

Des responsables du Groupe « Otarie » (Waremme – Grand-Axhe – Lantremange)

En septembre 1944, les principaux responsables du Groupe « Otarie » de Waremme sont:

  • JAMAR Ambroise: Lieutenant de gendarmerie; il est responsable d’un groupe d’une cinquantaine de gendarmes « résistants ». Son pseudonyme est « Adolphe ». Il habite Grand-Axhe.
  • PIRSON Hadelin: Vicaire de la paroisse Saint-Pierre de Waremme. Il est responsable de la mobilisation du groupe sanitaire de l’Armée Secrète. Il habite rue Sous-le-Château à Waremme.
  • LEBURTON Edmond. Il habite Lantremange.

Jacques Beauduin, Résistant (Waremme)

En septembre 1944, le Waremmien BEAUDUIN Jacques est membre du Groupe « Otarie ». Il a pour mission d’aller porter les messages de mobilisation chez les principaux responsables du réseau, à Waremme.

Il est le frère de BEAUDUIN André de la rue d’Oleye à Waremme.

La magasin « Point Carré » va déménager (Waremme)

En mars 2016, les responsables du magasin de vêtements « POINT CARRE », situé au n° 16 de l’avenue Reine Astrid, à Waremme, annoncent qu’il s’installera prochainement en bordure de la Chaussée Romaine, dans les anciens bâtiments du pépiniériste « GARDEN ABEELS ».

Deux autres enseignes devraient s’installer dans ce complexe: l’opticien « ALAIN AFFLELOU » et « V. PHARMA ».

Le magasin Blokker va déménager (Waremme)

En mars 2016, les responsables du magasin « BLOKKER », situé avenue Reine Astrid à Waremme, annoncent que celui-ci s’installera prochainement en bordure de la Chaussée Romaine, à côté du magasin « AUTO-TECHNIQUE ». Le déménagement est prévu en septembre 2016.

La Ville condamnée (Waremme – Liège – Allemagne – Etats-Unis)

Le 8 juin 1950, la Cour d’Appel de Liège condamne la ville de Waremme à payer 5.510.262 francs de dommages et intérêts à DOYEN Camille, en réparations des dommages causés par la population à la fin de la Première Guerre Mondiale.

La moitié de cette somme représente les intérêts depuis 1932, date à laquelle le Tribunal des Dommages de Guerre a débouté la famille DOYEN.

Devant la Cour, les « DOYEN » ont invoqué un décret du 10 Vendémiaire de l’An IV (le 2 octobre 1795) qui règle la police dans les communes. Ce décret stipule qu’en cas d’émeutes et de dommages, les autorités communales sont tenues pour responsables et doivent payer les dégâts occasionnés. DOYEN Camille a ajouté que le bourgmestre faisant-fonction, JOACHIM Guillaume, n’a rien fait pour protéger ses établissements de la vengeance populaire.

La ville de Waremme, quant à elle, a déclaré que la gendarmerie n’était pas encore rétablie et que, par conséquent, il lui a été impossible de maintenir l’ordre. De plus, elle a insisté sur le fait que la population a été excitée par les soldats alliés présents. Or, ce même décret de 1795 prévoit que, si les émeutes ont été provoquées par des membres extérieures à la « communauté villageoise », les autorités communales sont dispensées de dédommager les victimes.

La boutique « Vogue » (Waremme)

Le 16 octobre 1996, la SPRL « Neurotec » ouvre le magasin d’accessoires et de vêtements « Vogue » au n° 52 de la rue Joseph Wauters à Waremme.

Les responsables de la société sont:

  • DEBATISSE François
  • DEBATISSE Damien
  • DEBATISSE Anne-Marie