Organisation du conseil communal (Waremme – France)

Le 17 février 1800 (28 pluviôse de l’An VIII), une loi française, relative à la division du territoire et à l’administration, rend à chaque commune une administration particulière, permettant ainsi une certaine restauration de l’autonomie communale.

Les conseils communaux sont rétablis dans toutes les communes, mais le maire, le maire-adjoint et les conseillers sont toujours nommés par le préfet du département.

Les Waremmiens voudraient à nouveau un marché le mardi

En 1736, les habitants de Waremme adressent une supplique au Prince-Evêque de Liège. Ils lui demandent d’autoriser la restauration du marché du mardi. Le Prince-Evêque leur donnera raison en 1738.

Waremme concède des biens à la confrérie des archers

Le 6 janvier 1656, par un acte signé devant le notaire BOUX, la ville de Waremme concède des terrains communaux à la Confrérie Saint-Sébastien des Archers de Waremme. Contre l’usage de ces terrains, ainsi que de celui d’un local à l’étage de l’hôtel de ville de Waremme, la Confrérie s’engage à restaurer, en temps opportuns, les toitures de la maison communale et de ses dépendances.

Les remparts de Waremme sont restaurés

gérard de groesbeek prince-évêque de liège

gérard de groesbeek prince-évêque de liège

En octobre 1578, afin de mettre autant que possible Waremme à l’abri des incursions des troupes étrangères guerroyant dans les environs, le prince-évêque DE GROESBEECK Gérard et son Conseil Privé ordonnent la restauration des fortifications.

Les habitants des villages voisins d’Oleye, Lantremange, Bleret, Oreye, Bovenistier, Limont, Grand-Axhe, Velle, Corswarem et Hasselbrouck qui, en cas d’alerte, se réfugient dans les murs de Waremme avec leurs objets les plus précieux, sont astreints à supporter une partie de la dépense. A l’intérieur de cette nouvelle enceinte, des institutions diverses évoluent ou se mettent en place.

Mort de Jules César (Rome)

CESAR JulesLe 15 mars – 44 (ACN), lors des Ides de Mars, un groupe de 60 à 80 sénateurs romains conjurés décide de se débarrasser de CAESAR (CESAR) Caïus Julis (Jules), qui doit entamer à l’Est une compagne contre les Parthes et qui sera donc inatteignable pendant tout un temps.

Ne prenant pas au sérieux les mises en garde des devins, CESAR se rend donc à la Curie, siège du Sénat. Il prend place sur son siège d’or (juste à côté de la statue de POMPEE, son adversaire malheureux) et les conspirateurs se rassemblent près delui. Au moment de lui présenter une requête, l’un d’eux se saisit de ses jambes pour l’empêcher de bouger. CASCA Publius Servilius est le premier à frapper. CESAR recevra ensuite au moins 23 coups de poignards.

Les conspirateurs croient avoir réussi leur coup, mais ils ne pourront pas rallier la majorité des Romains. Dans les mois qui suivront, la plupart d’entre eux connaîtront une mort violente.

A l’issue de l’inévitable guerre civile qui s’installe, OCTAVE vainvra son dernier opposant, MARC ANTOINE, et sera sacré premier Empereur de Rome, sous le nom d’AUGUSTE.