Carpe Diem en concert (Les Waleffes – Faimes – Voroux-Goreux)

Le 15 février 2025, la chorale « Carpe Diem,de Voroux-Goreux (Fexhe-le-Haut-Clocher), se produit en l’église Saint-Georges de Les Waleffes (Faimes), pour contribuer à la restauration des vitraux de l’édifice par l’artisan ROMAINVILLE Thierry. 3 (sur 16) sont déjà rénovés. 2 autres devraient l’être l’été prochain, pour un budget de 7.000 euros par verrière.

La boucherie Vanval endommagée (Berloz)

En novembre 1944, la boucherie de VANVAL Elie, installée au n° 21 B de la rue Joseph Wauters à Berloz, est endommagée par l’explosion d’une bombe volante allemande.

L’état des lieux sera dressé par l’architecte ONKELINX Joseph: Le mur creux de la rotonde de l’étage et le grenier de la maison sont fissurés à plusieurs endroits. Par la suite d’infiltration d’eau de pluie et de l’effet des gelées, la partie extérieure des briques de parement s’est séparée de la construction et s’est effondrée. Les plafonds de la salle à manger et de la chambre à coucher de l’étage se sont abattus par suite de l’explosion. Les fenêtres ont éclaté.

Le coût des travaux, nécessaires à la restauration de la maison, s’élèvera à 6.694 francs.

Mort de Jules Duchesne (Momalle)

Le 7 mai 1968, le curé de Momalle, l’abbé DUCHESNE Jules, décède à (?), à l’âge de 59 ans, des suites d’une longue et pénible maladie.

Pendant son pastorat à Momalle, de 1953 à 1968 (?):

  • il a fait aménager l’antique église du village;
  • il a fait restaurer la chapelle  Notre-Dame à l’Arbre;
  • il a fondé la « Légion de Marie ».

La chapelle de Saives

En décembre 2011, la chapelle de Saives (Faimes), installée rue Al Cadorette, est admirablement restaurée et ouverte à diverses activités culturelles.

Elle recèle 6 peintures sur bois représentant:

  • Saint-Lambert
  • Saint-Jacques
  • Saint-Roch
  • Saint-Hubert
  • Sainte-Madelberte (patronne de la paroisse de Celles)

La chapelle Saint-Eloi rénovée (Jeneffe)

En 1849, le chapelle Saint-Eloi de Jeneffe est restaurée à l’initiative du curé du village, l’abbé DEMARET.

Le haut du pignon menaçait ruine. La dépense s’élève à plus de 100 francs (en partie couverte par une collecte faite à l’église et par la levée du tronc de la chapelle).

Travaux à l’église (Jeneffe)

En 1590, l’église et sa tour sont restaurées à Jeneffe. (Les étages supérieurs de la tour sont redressés).

Travaux à l’église (Jeneffe)

En 1739, un chœur en briques et en pierre, avec abside semi-circulaire, est construit (remis à neuf ?) à l’église de Jeneffe.

Restauration du monument aux morts (Jeneffe)

En 1924, le monument aux morts de le Première Guerre Mondiale de Jeneffe est restauré.

Fin des travaux à l’église (Hodeige)

En 1906, les travaux de restauration de l’église de Hodeige sont achevés.

La « nouvelle » église comprend maintenant 3 nefs, séparées par 2 rangées de colonnes très espacées et formant 2 travées de chaque côté, sans compter les arcades ouvertes sur le sanctuaire qui reposent sur 2 piliers massifs.

Les colonnes de la nef principale sont cylindriques, peu élevées et d’un diamètre de 40 cm. Les chapiteaux, dont le tailloir est octogonal, présentent une ornementation très simple en bosselage (semblable à celle que l’on rencontre dans les églises de Thys et de Momalle) et qui représente des feuilles d’eau. L’intrados des arcs doubleaux est en pierre de taille, ornée de moulures.

Les 3 nefs donnent à l’église une largeur de 17 mètres, tandis qu’en faisant abstraction des chapelles ouvertes de chaque côté du chœur que l’on peut considérer comme un transept apparent, ainsi que de l’avant-chœur, elles ne lui donnent en longueur que 10 mètres 50. Ce manque de proportion n’est pas aussi choquant que l’on pourrait croire, parce qu’il se rachète par les chapelles et l’avant-chœur, d’une part, et, d’autre part, par le prolongement des nefs latérales contre la tour, elle-même évidée par une grande arcade.

L’intérieur est à peu près carré. Les colonnes étant très minces et fort espacées, l’abside du chœur étant peu profonde, et la dernière marche de l’autel se trouvant dans l’alignement des murs formant les chapelles, il en résulte un précieux avantage: les fidèles placés dans les bas-côtés peuvent voir le prêtre à l’autel.

Dans chaque mur latéral du chœur, il y a une fenêtre du style primaire, dont les meneaux sont en pierre de sable et dont les arcs sont trilobés. Le mur plat de l’abside est orné d’une grande fenêtre de même style, mais se distinguant de ses deux voisines par ses dimensions; ses arcs sont également trilobés. Conçue dans de gracieuses proportions, elle produit un bel effet.

Le chœur est couvert par une voûte en bois (pitch-pin) dépourvue de charpente apparente. Cette partie de l’église (qui selon toute probabilité a remplacé une ancienne construction en style roman) appartient toute entière au style du XIIIème siècle.

Un arc triomphal, dont l’intrados est une pierre calcaire, sépare le chœur de la nef centrale, et le pignon qu’il soutient est percé de 3 claire-voies qui allègent le poids du mur et servent en mêle temps d’ornement.

Le nef principale, éclairée seulement par les fenêtres des bas-côtés, est couverte par une voûte en bois et la charpente apparente a été remplacée par des tirants de fer (dont la présence fait penser à un édifice que l’on a voulu consolider !).

Les bas-côtés, qui n’ont pas de toit en appentis, mais en raison de leurs murs surmontés de plusieurs frontons triangulaires, sont couverts par des cesceaux (?) transversaux en bois dont la voûte est en pans coupés reliés par des moulures (alors que la voûte de la chapelle qui existait du côté de l’Épitre avant la restauration était en plein cintre et ornée de plusieurs nervures, ce qui lui donnait une forme plus gracieuse). Le voûtement des bas-côtés ne paraît pas tout-à-fait réussi.

La tour, très ancienne, n’est qu’une masse informe, sans cachet architectural et que couronne une flèche à 4 pans.

Extérieurement, l’édifice se fait remarquer par les frontons triangulaires et très pointus qui surmontent les bas-côtés. Chacun de ces frontons encadre une fenêtre du style flamboyant le plus pur et le plus élégant, partagée en 3 formes par les meneaux en pierre de sable reliés entre eux par des arcs surbaissés, et dont le tympan est rempli par des courbes décrivant un ensemble de figures, dont les plus nombreuses sont des flammes ascendantes ou renversées. Ces divers dessins, exécutés avec beaucoup d’art, font honneur à l’ouvrier chargé de ce travail.

Ces fenêtres sont au nombre de 3 du côté de l’Epitre, où se trouve la porte principale (au-dessus de laquelle se trouve une fenêtre en forme de triangule curviligne, dont le remplage est formé par des flammes et des trèfles pointus ou des cœurs allongés), et au nombre de 4 du côté de l’Evangile, si bien proportionnées, d’un dessin si varié, projetant sur l’ensemble de l’édifice un effet saisissant (aussi bien paraît mesquine cette petite ouverture, que l’on peut appeler « lucarne », qui se trouve dans chaque mur du fond des bas-côtés).

Les murs, dont le revêtement est en moellons de pierre, dite « castaine », et de silex dans la partie ancienne, et de calcaire dans la partie neuve, ont leur surface ornée de chaînages horizontaux en pierre de sable (le chœur excepté).

Le fenestrage présente des teintes bien assorties, et un vitrail représentant Sainte-Philomène (honorée d’un culte spécial dans la paroisse de Hodeige) est déjà placé dans la chapelle qui lui est dédiée.

Consécration de l’église restaurée (Hodeige)

Le 15 et 16 juillet 1906, l’église restaurée de Hodeige est consacrée par l’Evêque de Liège.