En juin ou juillet (?) 1940, lorsque le commandant de la brigade de gendarmerie de Waremme, l’adjudant MARECHAL, revient dans la ville, au terme de la « Campagne des dix-huit jours », il installe le bureau de la brigade au rez-de-chaussée de l’immeuble situé au n° 10 de l’avenue Reine Astrid. En effet, les locaux de la gendarmerie ont été réquisitionnés par la Kommandantur.
En 1942, le syndicaliste liégeois, RENARD André, malade, est libéré du camp de prisonniers où il est détenu en Allemagne.
De retour à Seraing, il encouragera d’abord la résistance civile qui consiste à freiner la production, à saboter l’outil, … Ensuite, il créera et commandera le réseau KJ3: ce sera le début de la résistance armée.
Le 24 juillet 1950, une grève générale éclate et se propage rapidement dans toute la Wallonie, à propose de la « Question Royale ». Le Roi LEOPOLD III vient, en effet, de rentrer en Belgique après la levée de son impossibilité de régner.
Le 22 juillet 1950, le Roi LEOPOLD III rentre à Bruxelles, après la levée de son impossibilité de régner.
Le 24 juin 1945, le Waremmien SCHEPERS Joseph, prisonnier de guerre au Stalag 1A en Allemagne, est libéré. Il entame le long voyage de retour.
Le 20 juin 1894, le conseil communal de Waremme prépare les festivités qui seront organisées pour le retour de Tanganika du lieutenant RENIER Gustave.
En novembre 1849, RAYMAECKERS Marie-Adélaïde-Christine, l’épouse du bourgmestre de Waremme, LEJEUNE Charles-Michel-Joseph, dont l’aliénation mentale est presque guérie, rentre chez elle, à Waremme.
En 1958, l’abbé DANZE Louis, de retour de sa mission à Nyundo, retrouve son poste de curé à Oleye.
En octobre 1789, les auteurs du « Journal Général de l’Europe, en exil, SMITS Jean-Joseph et TONDU Pierre-Henri-Marie, dit « Lebrun », rentrent à Liège. Ils y resteront jusqu’à l’été 1790.
Le 12 (13 ?) septembre 1940, le commissaire de police, HARDY Camille, revient à Waremme. Il a fui la ville le 11 mai dernier. Il ne peut reprendre sa fonction (en fonction de la loi du 5 mars 1935, dite « Loi Bovesse », qui interdit aux mandataires et fonctionnaires publics de quitter leur poste en cas de conflit). Il a été remplace par le Verviétois PETERS Lucien.
Si le Secrétariat Général de l’Intérieur ne réclame aucune sanction contre lui, l’Oberfeldkommandantur de Liège, par l’intermédiaire du Gouverneur de la Province, demande qu’il soit officiellement destitué pour abandon de poste.