En 1789, il y a une école de fondation religieuse à Jeneffe. Elle compte 50 élèves (30 garçons et 20 filles). Le maître est l’abbé LOHIER, curé du village.
(Cette école sera supprimée en l’An IX de la Révolution Française).
En 1789, il y a une école de fondation religieuse à Jeneffe. Elle compte 50 élèves (30 garçons et 20 filles). Le maître est l’abbé LOHIER, curé du village.
(Cette école sera supprimée en l’An IX de la Révolution Française).
En (?), suite à la Révolution Française, le curé de Hodeige, l’abbé ISTA Lambert, refuse de prêter le serment d’allégeance à la République et de haine à la Royauté. Vu son grand âge, il échappe à la déportation et à l’exil, mais est seulement placé sous la surveillance de l’Etat.
Dans ces jours sombres, il voit son église fermée et profanée; la croix du clocher est descendue. Il continuera à dire la messe et à administrer les sacrements, tantôt dans une grange, tantôt dans une cave.
En 1786, l’abbé COHEUR Hubert, de Crisnée, est nommé curé du village. Il occupera cette fonction pendant 25 ans, jusqu’à sa mort en 1811, avec un interim de l’abbé KERSTENNE Chrétien, également de Crisnée, car il devra s’expatrier plusieurs années lors des temps difficiles de la Révolution Française.
Vers 1790, à la Révolution française, le curé de Geer, l’abbé DE FAVEREAU Charles-Antoine, refuse de prêter le serment de haine à la Royauté et de fidélité à la République. Il sera condamné à la déportation.
Vers 1790 (?), à la Révolution Française, la Seigneurie de Villereau est vendue comme bien national.
Parmi les acquéreurs se trouvent:
En 1451, l’avoué de Boëlhe DE HARDUEMONT Godefroid, Seigneur de Hollogne-sur-Geer, décède à (?), sans héritier mâle.
Sa fille, DE HARDUEMONT Catherine, hérite donc de l’avouerie de Boëlhe, mais aussi des Seigneuries de Hollogne et de Darion, Elle est l’épouse de DE SERAING Jean.
(Ces trois seigneuries resteront aux mains des descendants de DE SERAING Jean jusqu’à la Révolution Française)
En mars 1261, le chevalier DE MONFERANT Adan, Seigneur d’Oreye, et son épouse D’OREYE Elisabeth prennent en location, à perpétuité, 6 bonniers de terres , près de Tis (Thys ?), auprès de l’abbé de Saint-Trond, contre une rente annuelle de 26 muids d’épeautre. Ils ne pourront vendre ce bien sans le consentement de l’abbaye (Leurs successeurs payeront cette rente jusqu’à la Révolution française et l’abolition du régime féodal).
Sur ces terres, ils construiront un château féodal. Cet édifice comprendra une cour haute et une cour basse, flanquées de 4 tours carrées situées à chacune des extrémités. Une maison seigneuriale et un quartier des serviteurs et domestiques y seront adjoints. Des écuries et des étables complèteront l’ensemble. Une seule entrée permettra l’accès à ce château. Elle sera surmontée d’un donjon, précédé par un pont-levis. Des étangs, alimentés par le Geer, entoureront cet ensemble.
En 1371, l’Aumône Pirénéal est l’organisme paroissial de bienfaisance, à Momalle. (Il subsistera jusqu’à la Révolution française)
En 1789, de nombreux villageois de Momalle adhèrent aux principes de la Révolution française. Ils s’opposent à la dîme perçue par le curé du village sur les terres de Pichoul (Pissoule ?).
En 1241, DE DOMMARTIN Alide (?), première abbesse du Val Notre-Dame à Huy, fait don du hameau de Momelette à son monastère, qui le conservera jusqu’à la Révolution française.