Le 1er octobre 2024, la maison médicale « Oreye Medical » ouvre ses portes à Oreye, dans les locaux rénovés de l’ancienne agence de banque « Belfius ». Elle dispose de 3 pièces au rez-de-chaussée et de 3 autres à l’étage.
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Inondation à Geer
Le 2 septembre 2024, de fortes pluies s’abattent sur la Hesbaye. Les « Foyers Sainte-Marie », centre pour enfant placés par le juge, installé rue de Boëlhe à Geer, sont complètement inondés en quelques minutes. L’eau monte à 40 cm au rez-de-chaussée. Les 46 résidents et les éducateurs trouvent refuge au 1er étage du bâtiment. Les pompiers doivent les évacuer vers le centre sportif du village.
Enfant assassiné à Berloz
Le matin du 10 novembre 2024, HOUILLET Ethan, un enfant de 4 ans est retrouvé sans vie, dans sa chambre, par son père, HOUILLET Grégory, rue Willine à Berloz. Celui-ci appelle les secours. L’enfant présente des plaies au visage, faites par un objet tranchant. L’autopsie révèlera qu’il est mort par étouffement. La mère, CHOJNACKI Emilie, enseignante, n’est plus au domicile.
Elle est retrouvée vers 13 heures, près du « Pont des Suicidés » de Cheratte (à un cinquantaine de km de la maison du drame). Elle déclare dans un premier temps avoir fait une « grosse bêtise » en trompant son mari ! et qu’elle se préparait à en commettre une autre. Les deux parents sont interrogés plus avant par la police. La mère ajoute qu’elle s’est disputée avec son compagnon, le soir précédent lorsqu’il a appris qu’elle le trompait. Il aurait décidé de rompre avec elle. Il aurait dormi au rez-de-chaussée, alors qu’elle aurait dormi dans la chambre au 1er étage. Elle dit s’être levée vers 6 heures du matin et avoir constaté que son fils était décédé. Elle ajoute avoir eu un « trou noir » et ne se souvenir de rien. Elle déclare avoir quitté le domicile sous le coup de l’émotion. Elle présente des plaies à la main, faites par un objet tranchant. Les déclarations du père sont cohérentes et ne permettent pas, à priori de la mettre en cause. A ce stade, le père est relâché et la mère est placée sous mandat d’arrêt pour assassinat.
Le couple est originaire de Grez-Doiceau et s’est installé à Berloz il y a 5 ans. Les parents n’ont aucun antécédent judiciaire et n’ont jamais attiré l’attention du voisinage.
Reconstruction du presbytère (Hodeige)
En 1847, sous le pastorat de l’abbé DELVAUX, le presbytère de Hodeige est reconstruit de fond en comble. C’est une vaste et commode maison de 13 mètres de longueur, de 8 mètres de hauteur et 9 mètres de largeur, qui comprend 4 pièces au rez-de-chaussée, 5 à l’étage, et plusieurs remises. Le terrain sur lequel elle est bâtie a une superficie d’environ 475 m2.
La ferme en carré de Momelette
En 1981, la ferme en carré de Momelette est isolée au Sud du hameau. Cette imposante ferme du 18ème siècle, dont les bâtiments assez symétriques de brique et calcaire, couverts de bâtières de tuiles se rassemblent autour d’une cour carrée, entièrement pavée.
Le volume principal de ce quadrilatère est une longue aile à front de rue, au départ d’un soubassement en calcaire, qui se retrouve pour tous les bâtiments, percée en son centre d’un portail à arc cintré et claveaux passants un sur deux, doublé d’un rouleau de brique. Des écuries encadrent le portail, éclairées par de petites fenêtres récentes; côté cour, elles sont ouvertes par de hautes portes cintrées à clés entre deux oeils-de-boeuf, surmontées d’une baie gerbière.
Deux petits bâtiments de faible hauteur et en retrait, abritant une remise et une laiterie, marquent la transition entre les écuries et les murs de pignon de la grange et du logis.
Ce dernier, d’un niveau et demi, est divisé en cinq travées, qui forment un double corps. Un perron à double volée permet d’accéder à la porte à linteau droit et baie d’imposte, surmontée d’une grosse lucarne harpée et à épis. Des baies à traverses, défendues par des barreaux, éclairent le rez-de-chaussée. La façade arrière, donnant sur un vaste potager, est semblable, le pignon médian y étant percé de deux petites baies rectangulaires.
Des étables basses sous fenils, aux percements à linteau droit, prolongent le corps de logis vers la droite.
La grange en large occupe le côté Sud-Est du quadrilatère; elle a été réduite de moitié. On y accède par un portail surbaissé à claveaux passants un sur deux, doublé d’un rouleau de brique.
A sa gauche, une petite porcherie s’ouvre par des portes jumelles cintrées, à clé et à encadrement écorné.
Le même type de porte, mais plus haute, se présente à droite du portail, permettant de pénétrer dans un pièce (brasserie ?), couverte de six voûtes d’arêtes en brique qui reposent sur deux colonnes polygonales en calcaire.
Enfin, face au portail d’entrée, l’aile Nord-Est abrite des étables couvertes de plafonds plats et de fenils percés de baies rectangulaires (plus récentes).
Le four à pain n’existe plus. Il se trouvait dans une annexe en dehors du quadrilatère.
Vente de la ferme en carré de Ligney
En 1817, les descendants de la famille « TOMBEUR – DACOS – PERILLEUX » vendent, par licitation, la ferme en carré de Ligney (à l’endroit qui s’appellera bien plus tard la rue de l’Ecole), à TOMBEUR Cosme, docteur chirurgien.
Elle comprend un beau corps de logis composé de 13 pièces, tant au rez-de-chaussée qu’au premier étage. Il est surmonté de vastes greniers et est construit sur plusieurs caves, dont une recèle un four. Le ferme comprend également deux vastes granges, trois écuries, deux étables à vaches, une bergerie, des étables, des remises, des fenils, un portail surmonté d’un colombier, une brasserie avec sa chaudière en cuivre et ses cuves, ainsi que d’autres bâtiments ruraux.
Ces bâtiments sont construits à neuf et à la moderne, en pierre de taille, briques et bois, couverts de chaume (à l’exception du portail couvert en ardoises).
Ils entourent une grande cour dans laquelle se trouve un puits.
Un jardin potager et une prairie attenante aux bâtiments et contenant avec l’assise de ceux-ci et la cour une superficie de 165 ares et 60 centiares.
La ferme en carré de Celles
En 1981, la ferme en carré située Place Joseph Wauters à Celles, au centre du village, se trouve à proximité de l’église.
C’est un grand quadrilatère de brique et pierre bleue sur soubassement en moellons. Il est composé de bâtiments du 17ème, 18ème siècles (fortement remaniés) et du 19ème siècle, autour d’une cour semi-pavée.
L’entrée est à l’Ouest, sous un porche à plafond en bois avec portail harpé en anse à panier et frise dentée sous corniche, qui jouxte un imposant logis du 19ème siècle à double corps de trois niveaux divisés en cinq travées.
Le rez-de-chaussée sur soubassement de pierre bleue, rappelé par un cordon de même nature délimitant le premier étage, est percé de portes et fenêtres avec encadrement de pierre bleue et linteau déprimé en bas. La façade extérieure présente des chaînages harpés et une frise dentée sous bâtière à croupe.
A gauche de cette vaste demeure, subsiste l’ancien logis du 18ème siècle, plus bas, qui communique avec le potager et le verger. Fortement remaniés, ses deux niveaux sont percés de fenêtres à linteau droit et traverse qui se mêlent à des baies plus récentes. Un intéressant garde-manger en bois reste accroché à la façade, côté cour, sous le coyau et les blochets de la bâtière d’Eternit.
Fermant le côté droit du quadrilatère, la grange en long, datée de 1760 (clé sur le portail), est divisée en trois nefs de six travées sur des piliers carrés de brique et couverte d’une bâtière de tuiles à coyaux sur frise dentée. Elle a été agrandie ultérieurement vers l’avant, pour s’aligner sur le porche, comme l’indique les chaînages harpés encore visibles sur le mur dans la cour et l’ancien portail harpé en plein cintre qui survit à l’intérieur.
Des étables, fortement remaniées, aux percements à linteau droit et bâtières de tuile à coyau sur frise dentée, forment les deux autres côtés.
Deux passages charretiers harpés en anse de panier ouvrent le côté Sud, donnant accès aux prairies derrière la ferme. Un appentis de tuiles sur poteaux de bois, est adossé au revers de cette même partie, servant de remise pour le matériel.
En dehors du quadrilatère, derrière l’ancien logis, subsistent le fournil exhaussé et le puits carré.
Agrandissement du château (Donceel)
Au début du 20ème siècle, une avancée est ajoutée tout le long du rez-de-chaussée du château de Donceel. Le ruisseau « L’Yerne » passe sous une partie des bâtiments.
La maison du bailli (Bergilers)
Dans la première moitié du 18ème siècle, la maison du bailli est construite à Bergilers, en briques et calcaire, sous une bâtière à coyaux de tuiles en « S ». L’habitation présente 2 niveaux de 4 travées de baies croisées au rez-de-chaussée et à meneaux à l’étage.
Transformation du château (Donceel)
En 1910, la façade vers le parc du château de Donceel est transformée par l’architecte JAMAR Edmond. Il ajoute une grande annexe vitrée au rez-de-chaussée.