La Ruelle de Petit-Axhe

Le 1er octobre 1866, les rigoles de la Ruelle de Petit-Axhe sont assainies (cause du choléra !).

Du béton sur la voirie de Crisnée

Le 14 janvier 1953, l’entretien des chemins empierrés étant couteux, le conseil communal de Crisnée décide la pose d’un revêtement plus efficace et durable.

Il charge l’architecte LONCIN Alphonse, d’Ans, du projet d’amélioration des chemins numéros 1 à 10, sur 7.650 mètres. Le revêtement sera en béton sur 5 mètres 50 de large, avec des bordures en saillie ou des rigoles en béton.

Le décompte final des travaux atteindra la somme de 9.983.000 francs, après obtention de subsides de l’Etat.

Il faut curer les rigoles et fossés (Crisnée)

Le 30 septembre 1920, le conseil communal de Crisnée demande à la râperie de Fexhe que ses ouvriers, préposés à la surveillance de l’écoulement des eaux de lavage des betteraves, continuent leur travail de curage des rigoles et fossés, depuis Kemexhe, jusqu’au-delà du territoire de Crisnée.

Prévention des inondations à Crisnée

Le 1er juillet 1910, le conseil communal de Crisnée décide de faire creuser des rigoles pour prévenir le retour de l’inondation des maisons situées dans le fond longeant le Chemin de Lowaige, et en Sart. La clôture entre les divers propriétaires riverains se fera au moyen de fils de fer, disposés sur 3 rangées. Le travail sera effectué par le cantonnier du village.

Trouvailles au Moulin de Waremme

Le 22 novembre 1844, le Baron DE SELYS-LONGCHAMPS Michel-Edmond vient voir les nouveaux travaux chez LAMBOTTE Englebert, au Moulin de Waremme. En réalisant les rigoles, il a trouvé d’anciennes fondations et de larges pierres plates brutes.

Waremme lutte contre le choléra

En août 1866, le Collège de Waremme prend des mesures contre l’épidémie de choléra qui frappe la ville:

  • blanchissage des maisons
  • distribution de paille et de couvertures pour literie aux indigents
  • distribution de vin et de viande aux indigents invalides et malades
  • aspersion à volonté d’eau phéniquée et de chlorure de chaux dans la maison des indigents, dans les canaux, les rigoles et les lieux insalubres de la commune
  • nettoyage des mares d’eau stagnantes et des rigoles
  • déplacement des tas de fumiers de la voie publique et de la cour des habitations

Les rigoles de Waremme sont des égouts à ciel ouvert

En 1866, plusieurs réclamations sont adressées par les habitants aux autorités de Waremme, à propos de l’insalubrité des rigoles de la rue de Huy (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters), de la rue de la Station (qui deviendra plus tard l’avenue Reine Astrid) et de la rue du Moulin.

Ces rigoles sont de véritables cloaques qui exhalent des miasmes fétides.

Une épidémie de choléra (Waremme)

En 1866, une grave épidémie de choléra décime la population de Waremme. De l’eau phéniquée et du chlorure de chaux sont répandus à profusion dans les maisons des indigents, dans les canaux, rigoles et lieux insalubres de la commune. Les mares d’eau et rigoles reçoivent un écoulement. Les tas de fumier existant sur la voie publique et dans les cours des habitations sont transportés.

Il n’existe pas d’égouts à Waremme.

Les rues sont des « égouts à ciel ouvert » (Waremme)

En 1866, de nombreux habitants de Waremme se plaignent, auprès des autorités communales, de l’insalubrité des rigoles, remplies de boue et d’immondices, dans les rues de Huy (qui deviendra rue Joseph Wauters), de la Station (qui deviendra l’avenue Reine Astrid) et du Moulin. Ils déclarent que se sont de véritables cloaques qui exhalent des miasmes fétides.