La voirie de Waremme

En 1957, le réseau routier de Waremme s’étend sur:

  • 41 km 400 de chemins communaux
  • 13 km 100 de voirie de l’Etat
  •   1 km 500 de chemins de grande communication

Création de la rue du Casino (Waremme)

En 1950, une nouvelle rue est crée à Waremme. Elle relie la rue Ernest Malvoz à l’avenue Guillaume Joachim. Elle porte le nom de « Rue du Casino ».

Les égouts, ça change la vie ! (Waremme)

En 1907, la construction d’égouts à Waremme est un vrai bouleversement dans la vie quotidienne des habitants. Jusque-là, les eaux usées étaient simplement déversées dans la rue.

Une campagne photographique (Waremme)

En 2010, COEME Guy fait procéder à une vaste campagne de photographies de la ville, rue par rue, et à une série de clichés aériens.

Une maison menace de s’écrouler (Bettincourt)

Le 26 mars 1987, la maison de CHERGUI Abdel, à Bettincourt, se lézarde et menace de s’écrouler. Le pignon doit être étançonné et la circulation est interdite dans cette rue.

Aménagement de la Haute-Wegge (Waremme)

En juin 1982, les travaux de voirie commencent au quartier de la Haute Wegge à Waremme.

Une nouvelle rue est créée entre la rue des Prés et la rue de la Haute Wegge. Cette dernière est refaite et un réseau d’égouttage est réalisé dans la cité. Les travaux devraient durer 300 jours et coûter environ 68.000.000 de francs.

Une nouvelle rue à Waremme

Le 10 mai 1982, le conseil communal de Waremme évoque le projet de création d’une nouvelle voirie entre la rue des Combattants et la rue du Moulin.

Une nouvelle rue à Waremme

Le 23 juin 1951, la rue qui longe la place de la gendarmerie est inaugurée à Waremme. L’Administration communale décide de mettre en vente une bande de terrain le long de cette rue, pour que s’y établissent des constructions privées.

Mandement du Prince-Evêque (Liège – Hesbaye)

En juin 1563, le Prince-Evêque de Liège adresse un mandement au Bailli de Hesbaye:

« Vu les mauvaises rues, voies et chemins (…) à raison desquelles nos communs sujets et marchands … ne peuvent (…) passer, chevaucher ni charrier pour le mauvais entretien et réparation d’iceux, il est prescrit à tout seigneur et communauté de faire visiter par la justice (…) toutes fosses droites, rues, voies, ponts, rivières, ruisseaux et passages, de les faire réparer et sous leur pertinente largeur (?) faire élargir et profonder, que l’eau puisse passer et les dits chemins sécher; et tous autres chemins fera un chacun réparer et refaire là et si avant que s’extendent les héritages (propriétés); et ce dans un délai de 2 mois après proclamation de l’édit, sous peine d’une amende de 12 florins. »

L’urgence semble telle que le Prince autorise d’y oeuvrer les dimanches et les jours de fête, après la grand-messe. La plantation d’arbres le long des chemins est encouragée; les frais étant partagés entre le Seigneur, l’autorité publique et le riverain. Les officiers de justice (échevins, mayeur) sont inviter à faire l’inspection de la voirie deux fois l’an: la veille de la Saint-Jean (24 juin) et la Saint-Remy (1er octobre).