La famille « Joyeux » (Waremme)

En 1944, la famille « JOYEUX » habite une maison située rue de Huy, à Waremme.

Victor Moës (Waremme)

En 1944, la maison de MOES Victor est située rue de Huy, à Waremme.

Le pré « Gérits » (Waremme)

En 1944, le pré « GERITS » est situé en bordure de la rue de Huy, à Waremme.

On dégage les rues à Waremme

Le 2 septembre 1944, des hommes réquisitionnés s’activent à dégager l’entrée de la rue Gustave Renier et le carrefour avec la rue de Huy, à Waremme.

Mort d’Elise Lhoest (Waremme)

Le 29 août 1944, au matin, le lendemain du bombardement de Waremme, le corps de LHOEST Elise est enfin dégagé des ruines des Etablissements « HESBACO », rue de Huy.

Le magasin Génique (Waremme)

En 1944, le magasin de chaussures « GENIQUE » est installé rue de Huy à Waremme.

Le coin « Mathot » est ravagé (Waremme)

Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis, tout le coin de la rue Gustave Renier et de la rue de Huy est ravagé.

  • La pâtisserie « MATHOT » est pulvérisée.
  • Le commerce de salaisons « STOUVENAKERS » a été soufflé.
  • La maison « RENIER » est détruite.
  • La petite maison « WUIPIEDS » (« le Poilu ») a complètement disparu.
  • Le magasin de l’électricien « PUTZEYS » et l’atelier de la couturière « PERQUI » ne sont plus que ruines.
  • La maison de l’architecte GONTHIER Richard est coupée en deux. Toute la partie droite s’est effondrée. Il ne reste plus rien de ce qui était la salle d’attente et le cabinet du dentiste MAGNEE Fernand.

L’horticulteur Rosoux (Waremme)

En 1944, les serres de l’horticulteur ROSOUX sont installées rue de Huy, à Waremme.

Une quatrième explosion. Le centre est dévasté (Waremme)

Le 28 août 1944, à 18h16, une dizaine de secondes après l’explosion de la rue Joseph Wauters, une autre bombe touche le sol, entre la façade arrière de la maison « PUTZEYS » rue Gustave Renier et l’atelier de « Djed Libon », qui est situé à une dizaine de mètres de l’ancienne cour à charbon. Le sol étant particulièrement humide à cet endroit, la bombe s’enfonce à cinq mètres de profondeur. Après quelques secondes, elle explose.

Tout le coin de la rue Gustave Renier et de la rue de Huy est ravagé. Les maisons « MATHOT », « RENIER », « WUIPIEDS », « PUTZEYS » et « GONTHIER » sont détruites.

Une deuxième (double) explosion. Hesbaco est détruite (Waremme)

Le 28 août 1944, à 18h12, deux bombes percutent et percent le pignon de l’entrepôt des Etablissements « Hesbaco », rue de Huy à Waremme. Elles explosent dans les fondations du bâtiment. La concierge, LHOEST Elise, restée dans sa petite maison, accolée à l’entreprise, est la première victime du bombardement de la ville.