En 1944, le docteur EVRARD René, directeur médical de la clinique Joseph Wauters située avenue Reine Astrid à Waremme, occupe une superbe villa, qu’il a fait construire à l’angle de la rue de Huy et de l’avenue de la Résistance, à une centaine de mètres des Ateliers Moës.
En juin 1944, JAVAUX Norbert construit un abri en béton dans le jardin de sa maison de la rue de Huy à Waremme. Cet abri est pourvu de toutes les commodités, y compris une réserve de nourriture et de boissons.
En juin 1944, BOUX Cécile exploite un petit café, rue de Huy à Waremme, près de la société « HESBACO » et de la scierie « HAMBOISE ». Elle a aménagé un petit hangar, à côté de son café, pour que les « navetteurs » de Viemme et de Faimes puissent remiser leur vélo.
Elle est âgée d’une quarantaine d’années et est toujours célibataire.
En 1922, la scierie « HAMBROISE », exploitée par les frères HAMBROISE François et HOMBROISE Charles, vient s’installer à la rue de Huy, à la sortie de Waremme, non loin des Etablissements « WERY ».
En juin 1944, la scierie « Hambroise » est située rue de Huy, à la sortie de Waremme, près de la société « Hesbaco ».
Elle emploie une douzaine de personnes.
En 1909, Monsieur WERY fait construire une maison destinée au concierge de ses entrepôts, situés à la rue de Huy à Waremme. LHOEST François et son épouse, CLAES Elise, s’y installent.
LHOEST François est également chauffeur-livreur pour les Etablissements Wéry.
En juin 1944, une dizaine de personnes sont employées par la société « Hesbaco » de Waremme (anciennement les Etablissements Wéry), située à la rue de Huy à Waremme.
En raison du risque d’attaque aérienne, et sous la pression du personnel, la direction a aménagé un abri au rez-de-chaussée de l’immeuble.
Le 10 juillet 1934, les Etablissements « WERY », situés à la rue de Huy près de la gare de Waremme, prennent le nom de « Compagnie Agricole de la Hesbaye – Hesbaco ».
La société est d’un accès facile par la route et par le rail. Les cultivateurs et les transporteurs alignent leur véhicule le long du quai de chargement, en façade. Pour les manipulations vers les étages, ils se rangent à l’aplomb du tire-sacs.
L’établissement est adossé au chemin de fer, à proximité du viaduc, et bénéficie d’un raccordement direct au réseau ferroviaire.
Vers 1938, MATHOT Alexis, le frère des marchandes de pâtisserie, MATHOT Marie-Louise et MATHOT Honorine, est marchand de charbon. Il entrepose son stock dans une petite cour située à l’entrée de la rue de Huy, à Waremme.
En juin 1944, les soeurs MATHOT Marie-Louise et MATHOT Honorine exploitent une boulangerie au carrefour de la rue Gustave Renier à Waremme. Une vitrine s’ouvre sur le carrefour et une autre sur la rue de Huy.