En 1889, la mercerie « A la Bobine d’Or » est installée rue de Huy à Waremme (qui deviendra rue Joseph Wauters). PIROTTE-MARTENS E. y vend des articles de mercerie et de bonneterie, ainsi que des chapeaux pour dames et enfants.
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La « Petite Maison de Saint-Joseph » (Waremme)
En 1887, la congrégation des Filles de la Croix fait construire un bâtiment, appelé « Petite Maison de Saint-Joseph », rue de Huy à Waremme (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters). C’est une annexe du Pensionnat de l’Institut des Filles de la Croix. Elle abrite notamment une boulangerie et une buanderie.
Grégoire Techeur, tailleur (Waremme)
En 1879, le tailleur TECHEUR Grégoire est installé rue de Huy, qui deviendra rue Joseph Wauters, après le croisement avec la rue Lejeune.
La Chapelle de l’Institut des Filles de la Croix (Waremme)
En 1873, une chapelle néo-gothique est construite sur le terrain adjacent au pensionnat de l’Institut des Filles de la Croix, le long de la rue de Huy (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters).
L’emplacement de la nouvelle école communale (Waremme)
En 1870, lors des débats au conseil communal de Waremme pour l’installation des nouveaux locaux de l’école communale hors du centre-ville en direction de la gare (à l’endroit qui deviendra plus tard place de la Gendarmerie, puis place du Roi Albert 1er) le conseiller Baron DE LAFONTAINE s’oppose au projet en déclarant qu’implanter l’école dans un endroit aussi excentrique risque de nuire au commerce local. Son opinion n’est pas suivie par ses collègues et il démissionne.
La nouvelle école et la nouvelle Justice de Paix sont donc construites dans les prairies qui bordent la partie de la rue de Huy (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters) qui mène à la rue de Saive (qui deviendra plus tard la rue de Huy) et à la rue de la Station (qui deviendra plus tard l’avenue Reine Astrid)
La Gare sera reliée au centre de Waremme
Avant 1870, le début de la rue de Huy (qui deviendra par la suite la rue Joseph Wauters) est un simple sentier. Son aménagement reliera directement la ville au pied de la rue de la Station (qui deviendra l’avenue Reine Astrid).
Les rues sont des « égouts à ciel ouvert » (Waremme)
En 1866, de nombreux habitants de Waremme se plaignent, auprès des autorités communales, de l’insalubrité des rigoles, remplies de boue et d’immondices, dans les rues de Huy (qui deviendra rue Joseph Wauters), de la Station (qui deviendra l’avenue Reine Astrid) et du Moulin. Ils déclarent que se sont de véritables cloaques qui exhalent des miasmes fétides.
Les demoiselles Vliegen de Waremme
En 1866, les demoiselles VLIEGEN sont propriétaires d’un vaste ensemble formé de deux gros immeubles et de grands jardins s’étendant entre les numéros 39 et 45 de la rue de Huy (qui deviendra rue Joseph Wauters) et les remparts.
La raffinerie de sel de Gustave Lejeune (Waremme)
Le 21 novembre 1842, le conseil communal de Waremme autorise LEJEUNE Gustave à établir une raffinerie de sel dans un bâtiment situé rue de Huy (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters), faisant partie de la ferme du Perron.
La rue de Saive sera empierrée (Waremme)
Le 20 novembre 1841, sur proposition de l’ingénieur des Ponts et Chaussées WILMART, le conseil communal de Waremme décide l’empierrement de la rue de Saive (qui deviendra plus tard la rue de Huy), depuis le pavé de la Station, jusqu’à la Chaussée romaine rénovée. Le coût de ses travaux sera couvert par un subside de 12.500 francs de la Province et par un subside de 6.000 francs du Gouvernement. Pour le solde à charge de la commune, le conseil décide d’augmenter les centimes additionnels jusqu’à concurrence d’un 10ème du principal.