Le « Caporal » de la rue des Champs (Waremme)

En 1944, BOEUR Guillaume, dit « Caporal », habite le rue des Champs, à Waremme.

Auguste Thysen, blessé (Waremme)

Dans la nuit du 31 août au 1er septembre 1944, le machiniste THYSEN Auguste, blessé lors du déraillement du train « MITROPA », est d’abord transporté à la ferme de DOUCET Jules, rue des Champs à Waremme. Il sera ensuite conduit à la Clinique Joseph Wauters.

Edouard Moria, marchand de chevaux (Waremme)

En 1944, MORIA Edouard est marchand de chevaux à Waremme. Il habite rue des Champs, avec sa famille. Sa femme se prénomme Marthe.

La famille Schepers (Waremme)

En 1944, SCHEPERS Nestor et sa famille habitent au n° 6 de la rue des Champs à Waremme. Cette rue court le long de la voie ferrée.

La ferme Doucet (Waremme)

En août 1944, la grosse ferme de DOUCET Jules est située rue des Champs à Waremme. Il y habite avec sa famille. Ils partagent le corps de logis avec la famille de son beau-frère, MORIA Edouard, marchand de chevaux. L’épouse de ce dernier se prénomme Marthe.

Installation d’une nouvelle passerelle au-dessus du Chemin de Fer (Waremme)

Dans la nuit du 12 au 13 septembre 2009, une nouvelle Passerelle en béton est installée au-dessus du chemin de fer, à la rue des champs à Waremme. La vieille passerelle métallique était devenue trop vétuste et dangereuse. Le coût de l’opération est de 400.000 euros, dont la moitié à charge de la Région.

Réparation de la passerelle qui enjambe le chemin de fer à Waremme

Le 5 mai 2007, la Passerelle pour Piétons, qui enjambe le chemin de fer et qui permet de relier la rue des Champs à la rue du Tram, est en cours de réfection. Les travaux coûteront 126.000 euros, à charge de la ville de Waremme.

Une potale est installée rue des Champs à Waremme

En 2002, lors d’un pèlerinage à Lourdes, Monsieur et Madame MATERNE achète une potale, qu’ils installent au n° 22 de la rue des Champs à Waremme, pour protéger les habitants du quartier.

Les premières bombes tombent sur Waremme

Le 10 mai 1940, vers 10h30, au lieu-dit « A la Centrale » à Waremme (actuelle rue des Champs), des bombes sont larguées près de la ferme « Doucet ».

La bataille de Neerwinden

Le 28 juillet 1693, à la veille de la bataille de Neerwinden, l’avant-garde de l’armée française traverse Waremme. Les officiers de LOUIS XIV, dont le Maréchal DE JOYEUSE, Monsieur DE LUXEMBOURG, Monsieur DE CHARTRES, le Prince DE CONTI, Monsieur DE SAINT-SIMON, utilisent comme observatoire, pour apercevoir les troupes ennemies dont le camp se trouve en deçà de la Gette, un moulin à vent qui s’élève dans l’actuelle rue des Champs, à peu près en face de la Plate-Tombe.

Ce moulin était très ancien. Il portait autrefois le nom de moulin de l’Evêque. Son existence est déjà mentionnée dans un texte de 1348. (Il sera détruit peu avant 1889).

Cette bataille ponctue une guerre de 9 ans. La moitié de l’Europe est liguée contre le Roi de France LOUIS XIV, dont l’armée est commandée par le Maréchal DE LUXEMBOURG. Une partie des toupes françaises passe à Berloz et à Corswarem, de part et d’autre du « Moulin Blanc ». La route est difficile, il y a des orages violents. Les soldats de LOUIS XIV et surtout les « piotes » (c’est-à-dire ceux qui sont à pied) sont harassés par la marche et la fatigue. Ce n’est que le lendemain, vers 4h15 du matin, qu’ils seront en mesure d’attaquer et de défaire les armées alliées, conduites par D’ORANGE Guillaume.