Le 13 juin 2005, LATOUR Pauline, âgée de 67 ans, est étouffée et égorgée à son appartement de la résidence « Kennedy », situé rue des Combattants à Waremme. Elle était serveuse à la taverne « Intercity » de la gare de Waremme. ZAROS Eliane, une waremmienne de 46 ans, est accusée de l’assassinat, pour des motifs de rivalité amoureuse.
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Waremme doit rembourser une taxe indue
Le 28 avril 2003, la ville de Waremme doit rembourser, à 7 Waremmiens riverains de l’ancienne tannerie, une taxe qui les avait frappés pour financer la nouvelle percée qui relie la rue des Combattants à la rue du Moulin.
Inauguration de l’avenue de la Tannerie à Waremme
Le 5 janvier 2002, les autorités communales de Waremme inaugurent l’avenue de la Tannerie, la nouvelle artère qui relie désormais la rue du Moulin à la rue des Combattants. Elle devrait permettre de désengorger le centre-ville, en proposant un itinéraire de transit.
Construction d’une nouvelle rue à Waremme
Le 18 avril 2001, les travaux de construction d’une nouvelle voirie sont entamés, pour désengorger le centre-ville de Waremme. Elle part de la rue du Moulin, près du magasin « Colruyt » et débouche dans le virage de la rue des Combattants, juste à côté du parking utilisé par les navetteurs des chemins de fer. L’aménagement de ces 450 mètres représente une dépense de 10.850.000 francs belges, entièrement prise en charge par la ville de Waremme.
Modifications à la tête de la SCRL « Centre de Gestion Hesbaye-Condroz » (Waremme)
Le 8 novembre 1996, MELON Léon démissionne de ses fonctions d’administrateur-délégué de la société fiduciaire et comptable SCRL « Centre de Gestion Hesbaye-Condroz » et est remplacé par DELVAUX Micheline pour la gestion journalière. Le président du conseil d’administration est HANNOSSET Florent. Le siège de la société est transféré de la rue Albert 1er à Hannut, vers le n° 6 de la rue des Combattants à Waremme.
Du nouveau au conseil communal de Waremme
Le 31 août 1992, en séance du conseil communal de Waremme, BRONKART Joseph prête serment de conseiller communal. Il remplace LABY Henri, démissionnaire. THOMAS José, quant à lui, est nommé échevin. Il occupera cette fonction jusqu’en 2006.
Le conseil communal décide d’établir trois nouveaux passages pour piétons, rue de Combattants : à hauteur de la rue Hallet (2) et de l’entrée du parking.
La rue des Combattants (Waremme)
En 1968, à l’occasion du 50ème anniversaire de l’Armistice, le conseil communal de Waremme décide que la rue de l’Electrification s’appellera désormais « Rue des Combattants ».
La firme d’articles métalliques Evrard (Waremme)
En 1954, la firme « Evrard » d’articles métalliques pour le bâtiment, installée Place Rongvaux à Waremme, est expropriée pour la réalisation de la rue des Combattants. Le 21 octobre, la société achète les anciens ateliers du vicinal de la rue des Fabriques.
Elle s’y installera l’année suivante.
Les premiers tirs à Waremme
Le 10 mai 1940, des batteries anti-aériennes, installées sur les plateformes des bâtiments de la firme de machines agricoles « DOYEN », (au coin de la Place Rongvaux et de l’actuelle rue des Combattants) ouvrent le feu. Les hommes de l’A.R.C.A., qui ont investi les locaux de cette fime un peu plus tôt, pour militariser des véhicules civils, se mettent en route, abandonnant les véhicules qui ne sont pas encore prêts.
Waremme sur « Pied de Paix Renforcé »
En 1938, pendant la période de « Pied de Paix Renforcé », l’armée réquisitionne à Waremme, les bâtiments de la firme de machines agricoles « DOYEN » (au coin de la Place Rongvaux et de l’actuelle rue des Combattants). Un atelier de réparation du charroi automobile s’y installe. Environ 200 hommes, logés chez l’habitant à Waremme, mais aussi dans toute la région, travaillent jour et nuit à transformer des véhicules civils en engins militaires.