Renier Marcotty, sous-lieutenant des douanes (Waremme – Arquillies)

En 1856, MARCOTTY Renier-Pierre est sous-lieutenant des douanes à Arquillies, petite localité proche de la frontière française, sur la route de Mons à Maubeuge. Il est d’origine waremmienne. Il est propriétaire à Waremme:

  • de deux maisons avec cour rue du Pont
  • d’une maison avec cour rue Visigath
  • d’une maison avec bâtiment et cour due de la Porte de Liège (qui deviendra l’avenue Edmond Leburton)
  • d’une maison rue du Perron

Des rues doivent être pavées (Waremme)

En novembre 1946, des chemins empierrés doivent être pavés à Waremme, car ils sont boueux en hiver et poussiéreux en été:

  • rue Emile Hallet
  • rue Sous-le-Château
  • rue Zénobe Gramme
  • rue des Fontaines
  • rue du Perron

Le coût des travaux est estimé à 2,5 millions de francs.

Les Oeuvres Sociales Catholiques (Waremme)

En 1950, les Oeuvres Sociales Catholiques de Waremme sont installées rue Joseph Wauters, face à la rue du Perron.

Le directeur de cette association est l’abbé MATERNE.

« Les Degrés Saint-Pierre » (Waremme)

En 1960, l’étroit passage, dont les marches et les palliers traversent deux blocs de maisons de la rue du Perron vers la place de l’Eglise à Waremme, est détruit. Cet escalier s’appelait « Les Degrés de Saint-Pierre ».

Les cyclistes à contre-sens (Waremme)

En mai 2015, les autorités de Waremme décident que certaines rues à sens unique de la ville pourront être empruntées à contre-sens par les cyclistes:

  • la rue sous-le-Château
  • la rue du Perron
  • la rue Visigath
  • la rue Hubert Krains
  • la rue Emile Hallet
  • la rue d’Elmette

Le « Tabacs-Cigares » de Marcel Goffin (Waremme)

En janvier 1940, GOFFIN Marcel exploite le magasin de tabacs-cigares, situé rue Joseph Wauters, à Waremme, en face de la rue du Perron.

Aménagement du parvis de l’église Saint-Pierre (Waremme)

En 1960, les autorités communales de Waremme décident d’aménager l’accès au parvis de l’Eglise Saint-Pierre. Ces travaux entraînent la disparition des larges escaliers existants et de deux petites maisons de la rue du Perron.

La pharmacie de Jean Blairvacq (Waremme)

En 1950, BLAIRVACQ Jean exploite une pharmacie au coin de la rue du Perron et de la rue Joseph Wauters. Son épouse est LAMBERT Suzanne.

La Motte est arasée (Waremme)

Vers 1840, la Motte, endroit où le château de Waremme s’est élevé jadis, est nivelée lors de l’aménagement du nouveau presbytère. Le jardin du Doyen sera aménagé à l’emplacement de l’ancienne forteresse (en fait un simple donjon).

BOUX Pierre assiste à cet arasement. Il précise que la butte avait une hauteur de 7 à 8 mètres et un diamètre à sa base de 34 à 48 mètres. Si on prolonge en ligne droite vers le Geer l’axe de la rue du Perron, cette ligne imaginaire passe par le centre de la butte.

Cette motte faisait partie d’un complexe médiéval défensif (mais portait néanmoins le nom de « tombe »). Elle était la base de l’ancien château de la ville.

A proximité de cet endroit se trouvait jadis la « Fontaine du Rèwe ».