Constitution de Nexatopia (Remicourt)

Le 28 novembre 2023, la SRL « Nexatopia », entreprise active dans le secteur informatique, est constituée par TIBO Daniel-Paul-Christian, de Remicourt, natif de Waremme. Le siège de la société est installé au n° 29/8 de la rue du Presbytère à Remicourt.

Le Cercle Saint-Joseph (Remicourt)

En 1936, le bâtiment du Cercle Saint-Joseph est construit rue du Presbytère, à Remicourt, à deux pas de l’église.

Il abritera une troupe théâtrale du même nom.

Régisseurs:

  • OTTEN
  • RENARD Fl.

Maquilleur:

  • JEANFILS Léon

Comédiens:

  • CHARLIER L.
  • DUFOUR Betty
  • FRANCK J.
  • GAUNE G.
  • HALLEUX L.
  • LEMME Marcelle
  • LONNAY F.
  • MASSET J.
  • MOES A.
  • NYNS A.
  • PILET Charles
  • Mme PILET M.
  • PIROTTE Augustine
  • RENARD C.
  • RENARD E.

Mort d’Alfred Mélotte (Remicourt)

En 1943, MELOTTE Alfred décède à (?), à l’âge de 88 ans. Il a été industriel. A la mort de son frère, MELOTTE Jules, il a pris la direction de l’usine « Mélotte » de Remicourt. Il sera inhumé dans un caveau de « l’ancien » cimetière de Remicourt, situé rue du Presbytère, où repose déjà sont frère MELOTTE Jules..

Nouvelle école provisoire à Remicourt

Le 8 février 1903, le conseil communal de Remicourt décide d’acheter à DELHAUTEUR Armand, une maison sise rue du Presbytère, pour y installer une école pour filles, ainsi que le terrain jouxtant cette maison, pour y construire une nouvelle école. 

Les plans seront dressés par l’architecte BRICTEUX et les travaux réalisés par l’entrepreneur-maçon KINET Jules, de Lamine.

Le club de basket de Remicourt

En 2017, le local du club de basket-ball de Remicourt est installé en la salle paroissiale « Saint-Joseph », rue du Presbytère, à Remicourt.

Son comité est composé de:

  • BODSON Christine, président
  • SCOYER Michel, secrétaire
  • DAMOISEAUX Frédéric, trésorier

La Seigneurie de Hemricourt avant 1287

Le Seigneur est propriétaire foncier. Son château-fort lui sert de résidence, ainsi qu’à ses homme d’armes. A côté de celui-ci, une imposante ferme exploite les nombreuses terres, qui constituent sa réserve seigneuriale. Non loin de là, en bordure de l’Yerne, au lieu-dit « le Vivier », son moulin à eau est fréquenté par la population soumise aux bannalités. Aux environs de cet ensemble, se trouvent les maisons et les huttes de la population. Elles sont établies le long du « Mont » (qui deviendra, bien plus tard la rue du Presbytère), à la « Maikèse » (qui deviendra la rue du Haut-Vinave) et près du pont jeté sur l’Yerne.

La population vit dans un état voisin du servage. Elle ne peut quitter le village, ni se marier au-dehors, sans le consentement du Seigneur.

Elle est soumise à un ensemble de redevances et d’obligations, dont certaines ont un caractère personnel et d’autres sont inhérentes à la nature du bien mis en oeuvre. C’est ainsi que cette population:

  • est soumise à la justice du Seigneur;
  • lui doit un nombre considérable de corvées (grâce aux-quelles il entretient sa réserve seigneuriale);
  • est sujette aux bannalités (par exemple, l’obligation de moudre le grain au moulin du Seigneur, moyennant paiement) et au droit de morte-main (en vertu duquel, après le trépas d’un chef de famille, le seigneur s’empare du meuble le plus riche de la maison);
  • est soumise à la « taille » (prélèvement que le Seigneur effectue sur les revenus des villageois, en échange de sa protection).

Les « serfs » sont soumis aux exigences arbitraires du Seigneur. Ils sont « Taillables et corvéables à merci ».