Des statues d’Irénée Duriez à Waremme

irénée duriez

irénée duriez

Le 6 février 2004, le sculpteur flamand, DURIEZ Irénée, et un de ses collaborateurs, arrivent à Waremme au volant de leur camion.

Ils déposent quelques-unes de ses œuvres, des nus féminins, place de Gérardmer, avenue Edmond Leburton, avenue Reine Astrid et rue Gustave Renier.

Elles y resteront jusqu’au début du mois de mars.

statue d'irénée duriez

statue d’irénée duriez

Grave incendie rue Gustave Renier à Waremme

Le 8 juillet 1955, un grave incendie ravage la boulangerie de l’Union Coopérative, rue Gustave Renier à Waremme.

L’incendie se déclare vers 21h45 et embrase tout le bâtiment avec une rapidité foudroyante. En un quart d’heure, tout l’établissement flambe et forme un brasier impressionnant qui illumine toute la ville.

Le corps des pompiers de la ville arrive sur les lieux après quelques minutes et s’attaque à circonscrire le sinistre qui pourrait s’étendre aux Etablissements « VERJANS », d’un côté, et au « Boerenbond » de l’autre.

Devant l’importance du sinistre, les pompiers de Liège sont appelés en renfort. Le feu est vaincu après deux heures de lutte.

Les dégâts sont très importants : la boulangerie est complètement détruite et de grandes quantités de farine, de grains et de nombreuses denrées sont parties en fumée.

Le 28 août 1944, le centre de Waremme est bombardé

Bombardement de Waremme en 1944

A quelques jours de la Libération, le 28 août 1944 à 18h30, un bombardement de Waremme est effectué par des chasseurs-bombardiers P38 « Lightning » du 479th Fighter Group de la 8th Air Force.

Le major CARTER de l’US Air Force constate que la gare de Waremme est opérationnelle et décide de la bombarder. Les premières bombes visent la voie de chemin de fer. La première explose près de l’Avenue Emile Vandervelde, faisant voler en éclat les vitres des maisons avoisinantes. Les mitrailleuses entrent également en action. Deux autres bombes font exploser les Etablissements « Hesbaco ». L’engin suivant atteint la rue Joseph Wauters, an face de la pharmacie « GIELEN » et détruit les maisons MATHOT, RENIER, WUIPIEDS, PUTZEYS et GONTHIER.

La maison de PUTZEYS Louis, touchée de plein fouet, s’effondre. L’électricien a la vie sauve, mais son épouse, PERQUI Henriette, qui tient un atelier de couture dans l’habitation, décède, tout comme sa belle-mère et ses deux ouvrières. Les quatre femmes se trouvaient dans la maison au moment du sinistre.

Les vitres et les toits de la Justice de Paix et des écoles communales sont soufflés.

Au total, l’attaque coûte la vie à 14 habitants et endommage gravement une cinquantaine de maisons et bâtiments du centre-ville. Les écoles et la Justice de Paix, bordant la Place de la Gendarmerie (Qui deviendra la Place Albert 1er), gravement endommagés, devront être démolies.

Une bombe frappe le bâtiment des grains « WERY » (Hesbaco) et deux autres tombent près des voies du « fond d’or » ainsi qu’aux environs des établissements « Bauduin ». Des wagons sont atteints. Des maisons s’effondrent au début de l’actuelle rue Gustave Renier. Le café Heine où l’on joue au whist est pulvérisé, ainsi que la banque voisine. La maison COEN est également atteinte. L’instituteur à l’école de Longchamps, originaire de Lantremange, BERGER Léon, âgé de 31 ans, est jeté par le déplacement d’air sur le monument aux morts. Il mourra le lendemain d’une fracture du crâne. MOTTARD Marcel, blessé aux yeux par des éclats de vitres, en restera aveugle.

Lorsque les avions se sont éloignés, des mineurs habitant la ville creusent une galerie dans les décombres de la rue Renier, pour retrouver les cadavres des victimes et les quelques rescapés, dont on entend les appels plaintifs et poignants.

Les 14 victimes civiles de ce bombardement sont :

  • BERGER Léon, instituteur (blessé, il décèdera le lendemain)
  • BIERNA Henri, joueur de football, âgé de 38 ans
  • LAMBERT Charles, dit « Charly, licencié en dentisterie de l’Université de Liège, âgé de 26 ans
  • LARDINOIS Camille
  • LHOEST Elise, épouse CLAES, âgée de 69 ans
  • MARTINAUX Joseph
  • NOBEN Albert, grossiste en fruits, âgé de 46 ans
  • MALAXHE Marie, veuve PERQUI, mère de PERQUI Henriette, âgée de 61 ans
  • PERQUI Henriette, âgée de 39 ans, épouse de PUTZEYS Louis
  • RENIER-FRANCOIS Charlotte, âgée de 75 ans
  • SERVAIS Georgette, apprentie-couturière, âgée de 15 ans
  • SERVAIS Odette, apprentie-couturière, âgée de 17 ans
  • YANS Arthur, tailleur à l’avenue Reine Astrid.

Note: la quatorzième victime est BALTAZAR Eugénie, qui décède dans l’explosion de la bombe qui tombe sur Grand-Axhe.

L’architecte waremmien LOGNARD Fernand rédigera un rapport d’expertise sur la catastrophe. Il écrira: « … la quasi-totalité des biens meublés a été complètement anéantie et dans les décombres, on n’a pu constater la présence des morceaux de divers objets sans même pouvoir en définir la provenance … » Sa réflexion laisse imaginer la violence du souffle de l’explosion !

place albert 1er après le bombardement du 28 mai 1944

place albert 1er après le bombardement du 28 mai 1944

Constitution de la SPRL « Agora Glacier Restaurant » (Waremme)

Le 29 décembre 2004, EL-HANI Fattah et son épouse LAURENT Nicole constituent la SPRL « Agora Glacier Restaurant », dont le siège est situé au n° 20 de la rue Gustave Renier à Waremme, pour y exploiter le restaurant-glacier « Agora ». La gérante de la société est LAURENT Nicole.

Déménagement de la SCRL « Le Sensas » de Waremme

Le 1er juin 1998, le siège de la SCRL « Le Sensas » est transféré de la Place Ernest Rongvaux, vers le n° 72 de la rue Gustave Renier à Waremme.

Inauguration des nouveaux locaux de « L’Epervier » (Waremme)

Le 19 mars 1993, la société colombophile « L’Epervier » inaugure ses nouveaux locaux situés au n° 68 de la rue Gustave Renier à Waremme. Jusque-là, elle disposait de locaux à l’Hôtel de Hesbaye, en face de la gare. Le président de la société est STRAUVEN Léon. La société fête cette année son 114ème anniversaire.

La Maison de confection Aerts – Renier (Waremme)

En 1955, la Maison de Confection « Aerts – Renier » est installée au n° 10 de la rue Gustave Renier à Waremme, près de la Gendarmerie.

Elle propose:

  • des robes
  • des manteaux
  • des tissus
  • de l’aunage
  • des soieries

Prolongement de l’avenue Guillaume Joachim (Waremme)

En janvier 1948, le conseil communal de Waremme décide de prolonger l’avenue Guillaume Joachim vers la rue Gustave Renier. Cet aménagement est devenu nécessaire car l’Etat a acheté des terrains à cet endroit, pour y construire les nouveaux bâtiments de l’Athénée Royal.

L’Athénée Royal aura de nouveaux bâtiments (Waremme)

En septembre 1947, le département des travaux publics autorise l’achat de la propriété « CHANTEUX » pour y construire le nouvel Athénée Royal de Waremme. Il sera édifié à l’angle de la rue Gustave Renier et de l’avenue Guillaume Joachim.

Fernand Magnée, dentiste (Waremme)

En 1940, le dentiste MAGNEE Fernand, de Mouhin, loue le rez-de-chaussée de la maison de l’architecte GONTHIER Richard, rue Gustave Renier, pour y pratiquer son art. Son cabinet est situé à l’arrière de la maison et il utilise la pièce en façade comme salle d’attente.