Louis Putzeis et Henriette Perqui (Waremme)

En 1940, l’électricien PUTZEYS Louis est installé à l’entrée de la rue Gustave Renier. Il y tient un magasin où l’on peut acheter piles et ampoules.

Dans le même immeuble, son épouse PERQUI Henriette, tient un atelier de couture. C’est une femme très corpulente, d’une quarantaine d’années, dont beaucoup de Waremmiennes disent qu’elle est la meilleure couturière de la ville. Trois « cousettes » travaillent avec elle : JOIRQUIN Dédée, et les sœurs SERVAIS Odette et SERVAIS Georgette.

A l’étage, une chambre est réservée à la mère de PERQUI Henriette, MALAXHE Marie.

L’Union Coopérative doit héberger des chevaux (Waremme)

Du 27 juillet 1940 au 31 décembre 1940, l’Union Coopérative, rue Gustave Renier à Waremme, doit héberger quatre chevaux allemands.

La Protection Antiaérienne Passive de Waremme

En mai 1940, l’architecte de Waremme, GONTHIER Richard, dirige le service de Protection Antiaérienne Passive, mieux connu sous le nom de « Défense Passive ». Ce service rassemble des volontaires qui sont amenés à remplir un certain nombre de tâches se rapportant à des problèmes de protection des populations.

GONTHIER Richard et sa famille habitent une confortable maison de la rue Gustave Renier.

La Rue Gustave Renier (Waremme)

En 1935, la rue de la Centrale à Waremme est rebaptisée rue « Gustave Renier », en mémoire du pionnier waremmien de la lutte antiesclavagiste en Afrique.

Mariage de Edmond De Selys-Longchamps et de Juliette Mathot (Waremme)

Le 19 mars 1931, le Baron DE SELYS-LONGCHAMPS Edmond épouse à Waremme, en secondes noces, MATHOT Augusta-Juliette, soeur des pâtissières du coin de la rue Gustave Renier.

La firme Haubrechts-Genicot déménage (Waremme)

En 1914, la firme « Haubrechts-Génicot », grossiste en denrées coloniales, s’installe à l’extrémité de (ce qui deviendra) la rue Gustave Renier, à côté de la boulangerie de l’Union Coopérative. Elle dispose d’un camion automobile, d’une charge utile de 3,5 tonnes.

Les Etablissement « Haubrechts-Génicot » (Waremme)

En août 1910, les Etablissements « HAUBRECHTS – GENICOT Charles » sont établis à l’extrémité de la rue Gustave Renier à Waremme, à côté de la boulangerie de l’Union Coopérative. Ces établissements vendent des denrées coloniales en gros et au détail, du café, de la quincaillerie, des alcools, du tabac et des cigares (dont ils sont une manufacture). Leur numéro de téléphone est le 16.

Mathieu Deruisseau chez Haubrechts-Génicot (Waremme)

Vers 1910, DERUISSEAU Mathieu travaille pour les Etablissements « Ch. Haubrechts – Génicot », situés rue Gustave Renier à Waremme.

Courses hippiques à Waremme

Le 25 juillet 1909, de grandes courses de chevaux sont organisées, comme chaque année, dans la vaste prairie du Baron DE LAFONTAINE, s’étendant entre les actuelles rue G. Renier, avenue G. Joachim, l’avenue E. Vandervelde et rue E. Malvoz. Ces deux dernières sont encore, à cette époque, d’étroites ruelles courant entre deux hautes haies.

Six épreuves sont au programme: deux courses de trot, une course de plat pour les chevaux admis par le Comité, un handicap au trot, une course d’obstacles, un concours d’attelage. La réunion se termine par un défilé de voitures.

Les inscriptions varient de 2 francs à 17 francs par cheval compétiteur. La course d’ouverture est une course au trot pour chevaux de labour et chevaux mixtes. Le vainqueur reçoit 75 francs, le deuxième 50 francs et le troisième 25 francs. Le Prix de l’Enclos est une course de plat réservée aux chevaux expérimentés, choisis par le Comité. Le premier prix est de 225 francs. La course du Comité est un handicap au trot monté ou attelé, sur une distance de 3.000 mètres. La course d’obstacles est longue de 2.500 mètres. Le concours d’attelage comporte trois catégories: voitures à un cheval, à deux chevaux, à plus de deux chevaux. Le vainqueur reçoit 25 francs et un flot de ruban en or ou en argent. Les propriétaires reçoivent 50% sur le prix du transport par Chemin de Fer des chevaux engagés.

Les courses de chevaux organisées à Waremme sont célèbres dans toute la Hesbaye.

La ferme de Lambert Gerits (Waremme)

En 1908, GERITS Lambert, dit « Bert Nold » fait construire une vaste ferme rue de la Centrale à Waremme. Elle deviendra plus tard la rue Gustave Renier. Le nom de son épouse est WILLEMS.