Le 2 septembre 1944, des hommes réquisitionnés s’activent à dégager l’entrée de la rue Gustave Renier et le carrefour avec la rue de Huy, à Waremme.
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Les confiseries « Laby » (Waremme)
En 1944, le petit magasin de confiseries « LABY » est situé au fond de la rue Gustave Renier, près de la râperie.
On recherche Henriette Perqui et les soeurs Servais (Waremme)
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis et de l’atelier de couture PERQUI, rue Gustave Renier à Waremme, les sauveteurs qui ont extrait JOIRQUIN Dédée des décombres sont épuisés. D’autres prennent le relais pour retrouver PERQUI Henriette, MALAXHE (MALASCHE) Marie, SERVAIS Odette et SERVAIS Georgette, qui se trouvaient également dans cet immeuble. Ses sauveteurs sont:
- LANDRAIN André
- MOËS François
- MAHIELS Arnold
- DENGIS Alfred
- LEGROS Camille
Après de longues et pénibles recherches, ils dégagent successivement les corps sans vie de:
- SERVAIS Odette
- PERQUI Henriette
- MALAXHE (MALASCHE) Marie
- SERVAIS Georgette
Mort de Charlotte François (Waremme)
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis, rue Gustave Renier, FRANCOIS Charlotte, l’épouse de RENIER Camille, est retrouvée morte dans sa cave. C’est de cette cave qu’est extraite, en vie, MASSET Clara.
Clara Masset, extraite des décombres (Waremme)
Le 28 août 1944, lors de l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis, rue Gustave Renier à Waremme, WUIPIEDS Emile, dit « Le Poilu », n’est pas chez lui. Il est à Bettincourt. Par contre, sa femme, MASSET Clara, a trouvé refuge dans la cave voisine des RENIER.
Après l’explosion, ses frères MASSET Marcel et MASSET Jules, ROUA Joseph, VANOPPEN Lucien et DEBROUX Georges s’activent pour la sortir des décombres.
Elle est conduite sur une civière à la clinique Joseph Wauters. Les brancardiers doivent se relayer plusieurs fois, en raison de son obésité.
Les frères Masset (Waremme)
En 1944, les frères MASSET Marcel et MASSET Jules habitent la rue du Pont à Waremme. Ils sont mineurs. Leur soeur est MASSET Clara, qui habite rue Gustave Renier, avec son mari WUIPIEDS Emile, dit « Le Poilu ».
Le sauvetage de Dédée Joirquin (Waremme)
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe à l’arrière de la maison de l’électricien PUTZEYS Louis (immeuble dans lequel se trouve également l’atelier de couture PERQUI), rue Gustave Renier à Waremme, JOIRQUIN Charles appelle sa fille, JOIRQUIN Dédée, sur les ruines de la maison. Après un moment, elle lui répond. Sa voix est faible. Il se faufile par le soupirail de la maison voisine, celle de l’architecte GONTHIER, pour accéder à la maison « PUTZEYS » par les caves. Mais la tâche s’avère compliquée, car la cave contiguë est partiellement effondrée et le plafond est incliné à 45°.
DELVELLE Fernand, ainsi qu’un « feldgrau » allemand le rejoignent. Le travail est difficile et épuisant. MOES Céléste, qui a travaillé dans des puits de phosphate, vient leur prêter main-forte. Il comprend qu’il faut étançonner le tunnel au fur et à mesure que l’on avance. Durant les travaux, le jeune fille répond aux appels, mais sa voix est de plus en plus faible. Aucune autre ne voix ne se fait entendre. A l’extérieur, les gendarmes DELVIGNE Louis et PIRLOT Firmin sécurisent les lieux.
D’autres secouristes viennent aider ceux qui sont déjà à l’oeuvre: DEGROOT Félix, DELVAUX Oscar et MAHIELS Joseph, dit « Li Vê ». Tous trois ont été mineurs. Ils parviennent à percer le mur mitoyen. Le plafond de la cave « PUTZEYS » est effondré. Les sauveteurs progressent lentement. Enfin, ils aperçoivent des vêtements. Ils arrivent près de la jeune fille.
En plus des débris de plâtras et de briques qui la recouvrent, elle est bloquée par une grosse solive. Les hommes entreprennent de la scier. JOIRQUIN Dédée s’évanouit à plusieurs reprises. Ils parviennent à la dégager et à la ramener dans la cave « GONTHIER ». Ils la sortent par le soupirail.
Son père, JOIRQUIN Charles, et le tailleur BRASSINE Roger l’emmènent sur une civière à la clinique Joseph Wauters. Le docteur EVRARD constate qu’elle n’est pas gravement touchée. La solive l’a protégée !
Yvonne Hinnisdaels, saine et sauve (Waremme)
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe à l’arrière de la maison de l’électricien PUTZEYS Louis, rue Gustave Renier à Waremme, HINNISDAELS Yvonne parvient à s’extraire seule des décombres. Elle s’était réfugiée dans la cave du magasin de salaisons « STOUVENAKERS ».
Irène Pétry, inconsciente (Waremme)
Le 28 août 1944, lors de l’explosion de la bombe à l’arrière de la maison de l’électricien PUTZEYS Louis, rue Gustave Renier à Waremme, la jeune PETRY Irène est allongée, inconsciente, sur des rondins, dans la tranchée qui a été creusée dans la propriété « DE LAFONTAINE ».
Louis Bourmanne, médecin « résistant » (Waremme)
En 1944, le docteur BOURMANNE Louis fait partie du service de santé du Groupe « Otarie ». Il habite rue Gustave Renier (?) à Waremme.