La boulangerie « Mathot » (Waremme)

Vers 1938, la boulangerie des soeurs MATHOT Marie-Louise et MATHOT Honorine, située au carrefour de la rue Gustave Renier à Waremme, est renommée pour ses pralines et ses éclairs au chocolat.

Les produits qu’elles vendent sont fabriqués dans les installations de leur beau-frère, situées à la rue du Pont. Pour assurer la fraîcheur de la pâtisserie, il approvisionne la boutique plusieurs fois par jour.

La boulangerie « Mathot » (Waremme)

En juin 1944, les soeurs MATHOT Marie-Louise et MATHOT Honorine exploitent une boulangerie au carrefour de la rue Gustave Renier à Waremme. Une vitrine s’ouvre sur le carrefour et une autre sur la rue de Huy.

Les Salaisons « Stouvenakers » (Waremme)

Vers 1938, le magasin de salaisons, exploité par STOUVENAKERS Jeanne, au carrefour de la rue Gustave Renier à Waremme, est florissant.

Les fruits et légumes de Guillaume Stouvenakers (Waremme)

En juin 1944, STOUVENAKERS Guillaume vit avec sa soeur, STOUVENAKERS Jeanne, au carrefour de la rue Gustave Renier à Waremme.

Il exploite un potager rue Sous-le-Château. Il utilise l’étalage de salaisons de sa soeur pour vendre le surplus de légumes de son potager et les fruits de son potager.

Il a été charcutier. Il est toujours célibataire, comme sa soeur.

Jeanne Stouvenakers, commerçante (Waremme)

En juin 1944, STOUVENAKERS Jeanne exploite un petit magasin de salaisons, au carrefour de la rue Gustave Renier à Waremme.

Elle est âgée d’une soixantaine d’années et est toujours célibataire.

Elle vit avec son frère, STOUVENAKERS Guillaume.

Camille Renier, retraité (Waremme)

En juin 1944, RENIER Camille et son épouse (?) Charlotte occupent une ancienne construction, située à l’entrée de la rue Gustave Renier à Waremme, à côté de la bâtisse occupée par WUIPIEDS Emile et son épouse MASSET Clara.

La maison « RENIER’ donne en plein sur le carrefour.

RENIER Camille a pris sa retraite d’instituteur en chef de l’Ecole Communale de Waremme, il y a une dizaine d’années.

Emile Wuipieds, le « poilu » (Waremme)

En juin 1944, WUIPIEDS Emile, dit « Le Poilu », vit avec son épouse, MASSET Clara, dans une minuscule maison, à la façade blanchie et aux plafonds bas, à l’entrée de la rue Gustave Renier à Waremme.

Ils élèvent un cochon (surnommé « Baptiste »), dans une baraque située au fond du petit jardin.

WUIPIEDS Emile est Français. Il a combattu sur la Somme en 1914.

Odette et Georgette Servais, cousettes (Waremme)

En juin 1940, les soeurs SERVAIS Odette et SERVAIS Georgette sont « cousettes » chez la couturière PERQUI Henriette, dont l’atelier est situé à l’entrée de la rue Gustave Renier, à Waremme.

Elles habitent à la rue du Pont, en face du cimetière. Elles passent, habituellement, leur dimanche à l’Institut des Filles de la Croix, avec le groupe « Les Joyeuses ».

Dédée Joirquin, « cousette » (Waremme)

En juin 1940, JOIRQUIN Dédée est âgée de 16 ans. Elle est employée comme « cousette » par la couturière PERQUI Henriette, dont l’atelier est situé à l’entrée de la rue Gustave Renier à Waremme.

Elle habite avec ses parents à la Brasserie Renier.

Richard Gonthier, architecte (Waremme)

En 1944, GONTHIER Richard est architecte à Waremme. Il habite, avec sa famille, une confortable maison située à l’entrée de la rue Gustave Renier, à côté de l’électricien PUTZEYS. Sa maison étant suffisamment vaste, il en loue le rez-de-chaussée.

Petit, rablé, il a les doigts jaunis par la nicotine.