En février 1892 (?), STREEL François (Grégoire ?) est juge de paix de Waremme. Il habite une maison rue de Sélys-Longchamps, près des futures rue Hubert Krains et des combattants. Cette maison dera plus tard occupée par BEAUDUIN Hyacinthe, BEAUDUIN Jean et sera appelée « Villa BEAUDUIN ». Elle sera également appelée « Maison de la Mort », en raison du décès précoce de plusieurs de ses occupants successifs.
Vers 1910, la Villa BEAUDUIN est située rue de Sélys-Longchamps à Waremme, près de l’entrée de la rue Cochoul (qui deviendra plus tard la rue Hubert Krains).
En 1934, à la mort d’Hubert Krains, son nom est donné à l’ancienne rue de l’église à Les Waleffes.
En 1954, la ferme « CAPRASSE » est installée au n° 20 de la rue Hubert Krains, à Waremme.
Elle y vend:
En 1954, MOERMANS A. exploite un commerce de charbon. Le dépôt est situé rue Hubert Krains et les bureaux au n° 66 de la rue de Sélys.
Il propose également un service de transports en tous genres par camion.
Le 29 août 1944, l’agriculteur de la rue Hubert Krains, JACOB Armand, aide à transporter les décombres du bâtiment WERY, détruit lors du bombardement de Waremme, avec son cheval Carmen du Chapitre.
En mai 2015, les autorités de Waremme décident que certaines rues à sens unique de la ville pourront être empruntées à contre-sens par les cyclistes:
Le 12 mai 1940, la jeune Waremmienne RENARD Paulette est blessée au mollet d’une balle perdue, rue Hubert Krains, lors d’une attaque aérienne anglaise, sur les occupants Allemands de Waremme.
En septembre 1944, le jeune FERON Luc habite avec sa famille dans la maison située à l’angle de la rue Hubert Krains et de la rue de Sélys-Longchamps, à Waremme.
En août 1944, MOTTARD Marcel et son épouse (?) Joséphine habitent avec leurs trois filles rue Hubert Krains à Waremme. Ils y cultivent un potager.