La Gare sera reliée au centre de Waremme

Avant 1870, le début de la rue de Huy (qui deviendra par la suite la rue Joseph Wauters) est un simple sentier. Son aménagement reliera directement la ville au pied de la rue de la Station (qui deviendra l’avenue Reine Astrid).

Les rues sont des « égouts à ciel ouvert » (Waremme)

En 1866, de nombreux habitants de Waremme se plaignent, auprès des autorités communales, de l’insalubrité des rigoles, remplies de boue et d’immondices, dans les rues de Huy (qui deviendra rue Joseph Wauters), de la Station (qui deviendra l’avenue Reine Astrid) et du Moulin. Ils déclarent que se sont de véritables cloaques qui exhalent des miasmes fétides.

Les demoiselles Vliegen de Waremme

En 1866, les demoiselles VLIEGEN sont propriétaires d’un vaste ensemble formé de deux gros immeubles et de grands jardins s’étendant entre les numéros 39 et 45 de la rue de Huy (qui deviendra rue Joseph Wauters) et les remparts.

La raffinerie de sel de Gustave Lejeune (Waremme)

Le 21 novembre 1842, le conseil communal de Waremme autorise LEJEUNE Gustave à établir une raffinerie de sel dans un bâtiment situé rue de Huy (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters), faisant partie de la ferme du Perron.

Waremme en 1840

En 1840, Waremme, avec ses hameaux, compte 240 habitations, pour 1.590 habitants. La ville ne s’étend guère au-delà du carré d’environ 400 mètres de côté des remparts et du Geer.

Seuls quelques rares groupes de maisons s’élèvent en dehors de ce périmètre : rue du Pont, quartier du Rèwe et le long de l’actuelle rue Joseph Wauters, où les dernières constructions se situent à hauteur de la rue des Fontaines. Place de la Porte de Liège, il y a une petite chapelle (elle sera démolie lors de l’établissement du chemin de fer vicinal).

La rue de Huy est aménagée (Waremme)

En 1838, le tronçon de la rue de Huy (Qui deviendra la rue Joseph Wauters en 1930) longeant la future Place Albert 1er, est aménagé pour prolonger vers la ville la rue de la station. Le tronçon (de la future rue Zénobe Gramme à la rue des Fontaines) est également aménagé pour terminer la liaison. Avant cela, ces tronçons ne constituaient qu’un sentier. Des maisons de commerce ne tardent pas à s’installer en bordure de cette nouvelle voirie.

Le forgeron Lhoest (Waremme)

Au début du 19ème siècle, la famille LHOEST exploite une forge à l’angle de la rue de Huy  (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters) et de la rue du Baloir à Waremme.

Les Sépulchrines achètent une maison pour y fonder un couvent (Waremme)

Le 17 juillet 1640, la Dame LUCAS Anna, prieuse des Sépulchrines de Waremme, acquiert une maison particulière, une cour, un cortizeau et ses appendices, appartenant à BOUX Jean Gisbert, située à l’angle de la ruelle du Curé (qui deviendra plus tard la rue Charles Lejeune) et de la rue de Huy (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters) pour y établir le couvent des Sépulchrines.

Remarque: A cet emplacement s’installera plus tard la gendarmerie, l’école communale, la Société d’Harmonie, l’Académie de Musique.