Des rues doivent être pavées (Waremme)

En novembre 1946, des chemins empierrés doivent être pavés à Waremme, car ils sont boueux en hiver et poussiéreux en été:

  • rue Emile Hallet
  • rue Sous-le-Château
  • rue Zénobe Gramme
  • rue des Fontaines
  • rue du Perron

Le coût des travaux est estimé à 2,5 millions de francs.

De l’éclairage toute la nuit (Remicourt)

Le 11 mai 1959, le conseil communal de Remicourt décide d’éclairer les rues du village la nuit entière.

Intense activité à la gare (Remicourt)

En 1945, la gare de Remicourt connaît une activité intense et soutenue. Des trains de munitions, de matériel militaire et d’équipements variés arrivent journellement. De lourds camions, conduits par des soldats américains (fréquemment de couleur), sillonnent les rues du village.

Une cavalcade pour le carnaval (Waremme)

En 1894, une grande cavalcade est organisée dans les rues de Waremme par la fanfare du « Bacchanal-Club Waremmien », à l’occasion du carnaval.

Les Récollets, Ordre Mendiant (Waremme)

Aux 17ème et 18ème siècles, les Pères Récollets de Waremme, qui appartiennent à la classe des Ordres Mendiants, ne peuvent posséder au plus que:

  • un local pour les abriter;
  • une bibliothèque pour les instruire;
  • un four;
  • une brasserie;
  • un moulin;
  • un jardin pour les nourrir et leur fournir une certaine somme de travail manuel;
  • une église pour leurs offices;
  • un cimetière pour y reposer.

En dehors de cela, rien ! Aucune terre, aucune rente, avec l’obligation de mendier leur pain quotidien, en se fiant à la Providence.

A Waremme, quand chaque semaine ou chaque mois, ils parcourent les rues, les pieds nus, avec besace au dos, demandant humblement leur pain, jamais cette besace ne revient vide.

Rues rebaptisées (Crisnée)

En 1966, deux rues changent de nom à Crisnée:

  • la rue des Vergers devient la rue de l’Abattoir
  • la rue d’Odeur devient la rue Joseph Wauters

Des rues rebaptisées (Crisnée)

Le 3 mai 1960, afin d’honorer la mémoire de personnes ayant rendu de grands services à la commune, le conseil communal de Crisnée décide de rebaptiser 3 artères du village:

  • la rue de l’Eglise devient la rue de l’Abbé Coopmans (1864 – 1936)
  • la rue de Kemexhe devient la rue Sylvain Panis (1910 – 1959)
  • la rue Charlevaux devient la rue François Gilon (1890 – 1918)

Limitation de vitesse à Crisnée

Le 30 juin 1925, vu le danger, le conseil communal de Crisnée, unanime, arrête que la vitesse des autos, motos et vélos sera limitée à 30km/h sur la Grand-Route et à 10 km/h sur les chemins intérieurs du village.

Le coq de l’église de Crisnée

En 1937, le coq-girouette de l’église de Crisnée est descendu par l’ardoisier de Liège qui répare la toiture de l’édifice. Il sera redoré et arboré dans les rues du village. (Ce coq coiffait déjà l’ancienne église de Crisnée)