En octobre 1987, plus de 150 enfants encadrés par leurs professeurs, quelques sympathisants et les organisateurs de l’opération, descendent dans les rues de la Waremme pour les débarrasser des détritus qui y trainent.
Le bourgmestre, COEME Guy, remet aux enfants le brevet de « Chevalier de la Propreté ».
C’est un enfant d’Oleye, BOVY David, 12 ans, qui est à l’origine de cette idée.
Le 30 novembre 1987, le conseil communal de Waremme décide de renouveler l’ensemble des plaques indicatrices des rues.
Ce renouvellement se fera sans frais pour la ville, les plaques étant « sponsorisées ».
Le 17 juin 1989, le groupe folklorique « Les Joyeux Pierrots » anime les rues de Waremme.
Le 17 mai 1984, le Groupe d’Actions Culturelles (GRAC) organise la 3ème édition des 24 heures de Cuistax de Waremme. Seize équipages, venus des quatre coins de la Province, se relayent sur un circuit long de 689 mètres, tracé dans les rues de Waremme.
Les vainqueurs, l’équipe « Raffa Jeans », parcourent 561 tours, soit 386,5 kilomètres, à la moyenne de 16,1 km/h.
Le 12 juillet 2004, le conseil communal de Waremme décide d’emprunter 126.505 € pour rénover une vingtaine de rues de la ville. Les travaux débuteront au mois d’août. Ces rénovations sont nécessaires après plus de dix ans depuis les derniers travaux.
En 1970, une épreuve de karting est organisée, pour la première fois, dans les rues de Waremme.
Au début de l’année 1966, le conseil communal de Waremme instaure le stationnement alternatif par quinzaines dans les principales rues de la ville.
En 1924, la charrette d’un marchand de crème glacée sillonne les rues de Waremme.
Le 18 mai 1915, le commandant de l’Ortskommandantur de Waremme, BERG, décide qu’à partir de ce jour la circulation dans les rues ne sera permise qu’entre cinq heures du matin et onze heures du soir, mais les cafés seront fermés à dix heure du soir.
Le 27 août 1914, les Allemands imposent un couvre-feu à Waremme. Les occupants interdisent aux habitants de se trouver sur la rue après 8 heures du soir. Exception est faite pour les prêtres, les médecins, les sages-femmes, les membres de la Croix-Rouge, pour autant qu’ils se trouvent dans l’exercice de leurs fonctions. Ils doivent également se procurer un laisser-passer chez le commandant de la place. Toute infraction à cet ordre est punie par une arrestation immédiate.