Vers 1630 (?), l’ancien hôpital de Waremme est en ruine. Un couvent des Récollets s’installera dans le bâtiment. La communauté comptera jusqu’à 50 membres.
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Maison en ruine (Waremme)
En 1856, il y a une maison en ruine rue de la Chapelle à Waremme.
Christian Tomsin, journalier (Waremme)
En 1856, TOMSIN Christian est journalier. Il est propriétaire d’une maison en ruine rue du Pont qui deviendra plus tard la rue Hubert Stiernet à Waremme.
La maison Jadoul (Waremme)
En octobre 1886, Mademoiselle JADOUL Jos. est propriétaire de la petite maison en ruine, attenante à la maison BOUX.
La ferme Dotrenge (Waremme)
Le 17 novembre 1893, en réunion du Conseil Communal de Waremme, DOTRENGE propose un prix de 25.000 francs pour sa vieille ferme (Jacques ?), en ruine, pour y construire le nouvel Hôtel de Ville.
La chapelle Saint-Eloi rénovée (Jeneffe)
En 1849, le chapelle Saint-Eloi de Jeneffe est restaurée à l’initiative du curé du village, l’abbé DEMARET.
Le haut du pignon menaçait ruine. La dépense s’élève à plus de 100 francs (en partie couverte par une collecte faite à l’église et par la levée du tronc de la chapelle).
Restauration de l’église (Hodeige)
En avril 1905, les travaux de restauration de l’église de Hodeige sont entamés. L’architecte chargé de ces travaux est LOHEST.
Les travaux consistent en la restauration de l’église existante, fort délabrée, ainsi qu’en son agrandissement, par l’ajout d’une nef latérale.
Le monument s’élève au milieu du cimetière. Avant les travaux, il n’a que 2 nefs, recouvertes par des plafonds en lattes, et construites dans le style flamboyant de XVème siècle (ou du commencement du XVIème siècle), mais dont le caractère architectonique a entièrement disparu lors des restaurations effectuées à la Renaissance. Le remplissage des fenêtres a été enlevé et il ne reste plus que des ouvertures de baies informes et dépouillées de tout ornement. Les matériaux, destinés dans la pensée du constructeur à être vus, ont été recouverts soit d’un épais badigeon, soit d’une couleur « agressive ». La grande fenêtre percée dans le mur plat du choeur a été bouchée par une maçonnerie et, à l’intérieur, est masquée par le maître-autel. Enfin, les murs ainsi que les toits, en fort mauvais état, achèvent de donner à cet édifice l’aspect d’une ruine plutôt que d’une église servant au culte divin.
Les habitants doivent supporter des soldats (Hodeige)
En 1703, les habitants de Hodeige sont ruinés par le campement d’une armée la commune, un mois durant
Exactions françaises à Hodeige
En 1694, les troupes françaises campent à Hodeige. Des soldats logent dans l’église et y commettent toutes sortes d’excès: ils brisent les armoires de la sacristie, ainsi que la grande porte de l’église. Les fermiers du village, surtout les locataires, sont les plus à plaindre. Ils sont partiellement ou totalement ruinés par le séjour des troupes.
L’église en état pitoyable (Hodeige)
En 1834, l’église de Hodeige est dans un état pitoyable. Le presbytère tombe en ruine. Le Chanoine TILQUIN, connaissant le dénuement de cette église, remet une somme de 1000 francs au nouveau curé, l’abbé DELVAUX Jean-Louis, pour acheter les ornements les plus nécessaires.