Christian Tomsin, journalier (Waremme)

En 1856, TOMSIN Christian est journalier. Il est propriétaire d’une maison en ruine rue du Pont qui deviendra plus tard la rue Hubert Stiernet à Waremme.

Château en ruine (Corswarem)

Vers 1760 (?), le château et la chapelle castrale sont en ruines à Corswarem.

Arrêt des hostilités en Hesbaye

En 1224, l’Empereur de Germanie FREDERIC II donne raison au Prince-Evêque de Liège DE PIERPONT Hugues dans ses droits sur le Comté de Moha (décision ratifiée par le Pape HONORE III), alors que le Duc DE BRABANT Henri, dit « Le Guerroyeur », revendique les droits sur ce Comté. Face au désaveu général, ce dernier renonce à ses revendications.

L’arrêt des hostilités va permettre à la ville de Waremme et à son châtelain de procéder au relèvement de toutes les ruines accumulées.

Les Récollets construisent (Waremme)

Le 20 mai 1628, les Pères Récollets de Waremme commencent la construction de leurs nouveaux bâtiments. Depuis leur installation en octobre 1624, ils occupaient les ruine de l’ancien hôpital.

Octave Fraipont (Waremme)

En 1961, FRAIPONT Octave habite rue Hubert Stiernet, à Waremme, à l’emplacement d’un ancien hôpital (qui existait déjà en 1345) et du couvent des Récollets qui a pris place sur les ruines de celui-ci.

Le Résistants occupent les points stratégiques (Waremme)

Le 7 septembre 1944, vers 14 heures, une petite troupe de Résistants du Groupe « Otarie », commandée par NELIS Gaston, investit Waremme et occupe des points stratégiques:

  • LEJEUNE René et SAUWENS André s’installent dans les ruines du coin de la rue Gustave Renier, pour surveiller le carrefour du Centre.
  • THOMAS Jean-Baptiste, BOURS Jean, HERCKENS Jules et MISSOTTEN Hubert prennent position dans la pharmacie « GIELEN », de l’autre côté de ce carrefour.
  • MOUREAU Edmond et GODBILLE Maurice pénètrent dans l’Hôtel de Ville.
  • NELIS Gaston, dit « Joseph », et PAPY Justin s’introduisent dans la gare.

Déblaiement des ruines d’Hesbaco (Waremme)

Le 2 septembre 1944, les débris du bâtiment « Hesbaco », détruit lors du bombardement du centre de Waremme du 28 août dernier, sont transportés sur le tronçon de la Chaussée Romaine, compris entre la chapelle Saint-Eloi et le carrefour des Quatre-Bras, pour combler les profondes ornières laissées depuis des décennies par les véhicules agricoles.

Mort d’Elise Lhoest (Waremme)

Le 29 août 1944, au matin, le lendemain du bombardement de Waremme, le corps de LHOEST Elise est enfin dégagé des ruines des Etablissements « HESBACO », rue de Huy.