En 1940, GERARD Charles « entretient » (sabote ?) les wagons de marchandises stationnés sur la voie de garage de la gare de Remicourt.
Archives par mot-clé : sabotage
Sabotage du Chemin de Fer (Remicourt)
Le 8 juin 1944, à Remicourt, des Résistants placent cinq charges explosives qui détruisent les voies et les aiguillages de la ligne de Chemin de Fer Liège – Bruxelles:
- BUDO Arthur
- COUNE Jean
- DOCQUIER Hyacinthe
- RAMACKERS Gaston
- SAAL Jean
- VANDERSMISSEN Julien
Sabotage entre Remicourt et Bleret
La nuit du 9 au 10 mai 1944, une équipe de saboteurs du Groupe « Zoro », emmenée par LINCHET Henri, dit « Alexandre », opère sur la ligne de chemin de fer Liège – Bruxelles, entre Remicourt et Bleret. FRANKINET Laurent, dit « Pierrot », grimpe sur un poteau électrique pour en sectionner les fils. Ils sont surpris par une patrouille allemande. Une fusillade nourrie éclate.
Sabotage du Chemin de Fer (Remicourt)
Le 10 (11 ?) juin 1944, à Remicourt, cinq Résistants sabotent la ligne de Chemin de Fer, à peine réparée:
- COUNE Jean
- BUDO Arthur
- DOCQUIER Hyacinthe
- RAMACKERS Gaston
- VANDERSMISSEN Julien
Alfred Derydt, arrêté (Waremme – Huy)
En 1943, le Résistant du Front de l’Indépendance (F.I.), DERYDT Alfred, qui habite rue Stanislas Fleussu à Waremme, est arrêté par les Allemands et emprisonné une huitaine de jours à la Citadelle de Huy. Il est soupçonné de sabotage, de confection de fausses cartes d’identité et d’aide aux réfractaires. Il sera relâché faute de preuves.
Les installations ferroviaires sont gardées (Waremme – Allemagne)
Durant la Seconde Guerre Mondiale, en raison de la multiplication des actes de sabotage sur le territoire de Waremme, les Allemands décrètent que des hommes âgés de 18 à 50 ans doivent être réquisitionnés pour monter la garde, la nuit, afin de garantir la sécurité des installations ferroviaires.
Des amendes pour sabotage (Waremme – Allemagne)
Durant la Seconde Guerre Mondiale, de nombreux actes de sabotage de matériel ferroviaire (voies, cabines de contrôle de trafic, châteaux d’eau pour les locomotives, …) sont perpétrés à Waremme par la Résistance.
Chaque sabotage se traduit par une amende à charge de la commune. Cette pénalité est parfois d’ordre financier, mais le plus souvent elle prend la forme de la fourniture de récepteurs de radio, de bicyclettes, … Ces objets sont fournis par les détaillants locaux, qui les refacturent ensuite à l’administration communale.