André Jamers, chef de la Zone de Police (Waremme)

JAMERS André

JAMERS André

Le 30 octobre 2017, le commissaire divisionnaire, JAMERS André, quitte la direction de la Zone de Police de Ans / Saint-Nicolas et est nommé nouveau chef de la Zone de Police de Hesbaye, qui couvre les communes de:

  • Berloz
  • Crisnée
  • Donceel
  • Faimes
  • Fexhe-le-Haut-Clocher
  • Geer
  • Oreye
  • Remicourt
  • Waremme

Il dispose d’un effectif de 70 agents et 12 employés administratifs.

 

Techno Mobile (Waremme)

Le 1er novembre 2016, HANNAOUI Mohamed ouvre le magasin « Techno Mobile » au n° 19 de la rue Joseph Wauters à Waremme. Il est spécialisé dans la réparation de GSM, tablettes et ordinateurs, ainsi que dans la vente d’accessoires.

Il exploite déjà un commerce identique, « Maroc Phone », à Saint-Nicolas.

Gaston Nélis vient voir ses enfants (Waremme)

En décembre 1943, NELIS Gaston, dit « Joseph », bijoutier de Waremme passé dans la clandestinité, revient discrètement chez lui pour fêter la Saint-Nicolas avec ses enfants.

Visite archidiaconale (Oleye)

Le 12 octobre 1727, une visite archidiaconale est effectuée à l’église d’Oleye, par le sieur FRESART, notaire apostolique.

Il constate qu’il existait autrefois 3 bénéfices dans cette église, mais que, celle-ci ayant été totalement reconstruite en 1682, ils sont desservis à un même autel:

  • Un premier bénéfice, sous l’invocation de la Vierge Marie-Majeure et de Saint-Jean-L’Evangéliste, possédé par le sieur PIROTTE, curé de Jemeppe, est desservi par PIERET Guillaume. Les revenus attachés à cette fondation s’élèvent à 40 muids, avec charge de 2 messes septimaniales et l’obligation de payer 10 florins-brabant à la Fabrique, pour l’usage des ornements.
  • Un deuxième bénéfice, sous l’invocation de Saint-Nicolas, possédé par FREYSERS Michel. Les revenus consistent en 24 muids, perçus dans les communes d’Oleye et de Grand-Axhe, avec charge d’une messe septimaniale et de payer une rétribution à la Fabrique.

Naissance de Maurice Dessart (Momalle – Saint-Nicolas)

Le 5 octobre 1923, DESSART Maurice voit le jour à Saint-Nicola. Il sera Résistant dans le groupe « Zoro », durant la Seconde Guerre Mondiale. Il sera tué à Momalle.

Naissance de Jules Dehasque (Lamine – Saint-Nicolas)

Le 29 décembre 1912, DEHASQUE Jules voit le jour à Saint-Nicolas. Il sera Résistant dans le groupe « Zoro », durant la Seconde Guerre Mondiale. Il sera tué à Lamine.

Violent accrochage à Lamine

Le 16 juin 1944, deux Résistants du « Groupe Zoro », NAFTALI Alter, dit « Bob II », (de confession juive) et LONGREE Georges, dit « André », se rendent à Fize à vélo pour y récupérer une moto et des armes. A leur retour, ils sont interpellés par une patrouille de trois feldgendarmes de Waremme, pour un banal contrôle d’identité, dans la campagne de Momale, près de la Tombe de Hodeige. Constatant qu’ils sont armés, les Allemands leur passent les menottes et les emmènent « manu militari », vers le poste d’observation aérien allemands, installé au Moulin de Pousset.

Ayant appris cette arrestation, vers 15h20, le chef du groupe « Zoro » de Lamine, ROBYNS Zénon, dit « Ric », et ses compagnons, dont MOËS Julien, KAEPEN Alphonse, décident de libérer les deux hommes, sans attendre les ordres de DERWA Arthur. Ils se postent sur la motte castrale près de l’église de Lamine et derrière le mur d’enceinte du cimetière, pour intercepter les Allemands.

Ayant également été avertis, quelques Résistants du Groupe « Zoro » de Hodeige:

  • LEONARD Georges, dit « Le Vieux Georges »
  • FRANKINET Laurent, dit « Pierrot »
  • LITTLE Henry, dit « Jim »
  • DOSSERAY Sébastien, dit « Freddy »

se postent en embuscade derrière la haie de la prairie, située en face de la ferme VANDENSAVEL à Lamine, à une encablure des Résistants de Lamine, cachés près de l’église et du cimetière.

Ces deux groupes veulent intercepter les Allemands qui retiennent prisonniers deux des leurs . Chacun des groupes ignore la présence de l’autre.

A l’arrivée de la patrouille allemande, DOSSERAY Sébastien, dit « Freddy », (qui parle Allemand), se redresse de derrière la haie, pour parlementer. Il est immédiatement abattu d’une rafale de mitraillette. Une fusillade nourrie éclate. LITTLE Henry, dit « Jim », est blessé d’une balle au mollet.

A cette attaque, les Allemands se réfugient, avec leurs prisonniers, dans la cour de la ferme VANDENSAVEL.

DERWA Arthur arrive sur les lieux et positionne son groupe entre la chapelle Saint-Bernard et le presbytère de Lamine.

Les Résistants tentent d’encercler la ferme. Le combat fait rage. 

Un des feldgendarmes parvient à s’échapper et à rejoindre le poste de guet aérien du Luftnachrichten Régiment 223, installé au moulin de Pousset. Les guetteurs appellent immédiatement, par radio, leur base de Saint-Trond – Brustem. Des troupes sont envoyées. Des véhicules de ce Régiment passent à Waremme, pour prendre les hommes de UNFRIED Paul.

Ces renforts arrivent de Waremme à Lamine, par Pousset. Ils prennent à revers les Résistants qui encerclent la ferme. A ce moment, une soixantaine de Résistants font face à  plus de 200 Allemands.

Un combat au corps à corps s’engage dans le cimetière. ROBYNS Zénon est gravement blessé. CHESTOPALOV Anatoli se réfugie dans l’église et préfère se donner la mort avec sa dernière balle. D’autres Résistants y perdent la vie:

  • DEHASQUE Jules, dit « Gangster », natif de Saint-Nicolas
  • BEAUPAIN Albert, natif de Stavelot
  • BELLEVILLE Jules, natf d’Anthisnes

STUPAKOV Pierre et (?), dit « le Vieux Georges », mettent un fusil-mitrailleur en batterie et arrosent les Allemands, qui tentent d’encercler les Résistants. Ils parviennent à les maintenir à distance.

Les combats durent jusqu’en fin de journée. Vers 17 heures, DERWA Arthur donne l’ordre de se replier vers Momalle et Fize-le-Marsal. Ce combat a entraîné de lourdes pertes de part et d’autre: DERWA Arthur, dit « Zoro », a perdu 6 de ses meilleurs soldats et plusieurs autres sont blessés; les pertes allemandes sont plus lourdes encore, 17 tués et une vingtaine de blessés. Les deux prisonniers n’ont pas été libérés.

Antoine Houbar, recteur (Hemricourt)

En 1604, HOUBAR Antoine est recteur de l’autel de Saint-Nicolas et de Sainte-Catherine, en l’église de Hemricourt (Remicourt).

L’église de Remicourt consacrée

Le 5 juillet 1772, la nouvelle église de Remicourt est consacrée. Elle est dédiée à Saint-Jean-Baptiste. Elle recèle les reliques de Saint-Vincent et Saint-Vital.

C’est un édifice de belle allure, avec sa grande et haute nef de briques, aux longues fenêtres, d’époque « Louis XV ». A l’intérieur s’élèvent de grands pilastres à chapiteau avec coquille. Elle abrite, du côté de l’Epitre, l’autel de Saint-Nicolas et Sainte-Catherine; du côté de l’Evangile, celui de la Vierge Marie et Saint-Hubert. On y vénère également Saint-Roch.

L’église de Hemricourt

En 1558, l’église de Hemricourt (Remicourt) abrite quatre autels:

  • L’autel de Saint-Nicolas.
  • L’autel de Sainte-Marie.
  • L’autel de Saint-Hubert.
  • L’autel de Sainte-Catherine.