En 1965, le conseil communal de Crisnée cède à l’Etat l’enseignement primaire et gardien des 5 communes de la nouvelle entité fusionnée, avec le mobilier scolaire et le matériel didactique. Tous les membres du personnel enseignant acceptent leur transfert dans l’enseignement de l’Etat, à situation pécuniaire égale.
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Le salaire des ouvriers communaux (Crisnée)
En novembre 1944, le conseil communal de Crisnée décide d’allouer un salaire horaire de 5 francs aux travailleurs communaux qui réparent les chemins dégradés par le passage des blindés américains.
Joseph Tomballe, instituteur (Crisnée)
Le 30 décembre 1918, vu la démission de l’instituteur intérimaire de CHABOT Victor, le conseil communal de Crisnée désigne TOMBALLE Joseph pour remplir ces fonctions à l’école des garçons du village et fixe son traitement à 136 francs par mois.
La commune emploie des chômeurs (Crisnée)
Le 6 mars 1915, vu le grand nombre d’ouvriers sans travail, le conseil communal de Crisnée décide d’employer tous les chômeurs à des travaux d’assainissement et d’amélioration de la voirie, au salaire de 2 francs la journée de travail de 10 heures, qui sera réglé chaque dimanche. Ce travail achevé, les chômeurs devront extraire, concasser, transporter du silex pour empierrer un chemin de terre. Ces chômeurs sont de 20 à 30.
Joseph Vandebroeck s’occupe du cimetière (Crisnée)
En 1906, VANDEBROECK Joseph se charge d’entretenir le nouveau cimetière de Crisnée agrandi, pour un salaire de 100 francs, pendant 3 ans. Il accepte également de creuser les fosses à raison de 3 francs l’unité.
Joseph Tomballe, instituteur (Crisnée – Otrange)
Le 14 juin 1919, TOMBALLE (TOMBAL ?) Joseph, d’Otrange, est nommé instituteur à Crisnée, en remplacement de LAHAYE Charles. Son salaire est de 136 francs par mois. Il a en charge une classe de près de 70 élèves.
Henri-Joseph Rutten, instituteur (Crisnée)
Le 27 janvier 1871, RUTTEN Henri-Joseph, natif d’Oreye, est nommé instituteur en titre à Crisnée. Jusque-là, il était sous-instituteur. Il reçoit un traitement de 1000 francs par an; il habite dans l’immeuble de l’école et bénéficie d’un jardin de 10 ares. Il va cumuler cette fonction avec celle de receveur communal. Il exercera cette fonction d’instituteur jusqu’en 1891.
Accessoirement, il vendra des machines à coudre.
Le salaire d’une servante (Crisnée)
En 1928, le salaire de 6 mois d’une servante s’élève à 750 francs à Crisnée.
Le salaire d’un domestique (Crisnée)
En 1928, le salaire de 6 mois d’un domestique s’élève à 2100 francs à Crisnée.
Le salaire du garde-champêtre (Crisnée)
Vers 1908, le traitement annuel du garde-champêtre de Crisnée s’élève à 600 francs.