En (?), le CPAS de Remicourt rachète l’ancienne gare du village et la réaffecte en centre d’accueil pour candidats réfugiés politiques. L’ancienne salle d’attente est aménagée en magasin de vêtements de seconde main, sous l’enseigne « Chiffons d’Elles », dépendant des CPAS de Crisnée, Fexhe-le-Haut-Clocher, Oreye et Remicourt.
Le 18 juillet 2000, la salle d’attente de la gare de Remicourt est fermée. La gare devient un simple point d’arrêt ne délivrant plus de titre de transport.
Vers la fin de la Deuxième Guerre Mondiale, la gare vicinale d’Oreye est bombardée par l’aviation anglaise. Des rames de wagons sont soulevées et se chevauchent. Des rails déchiquetés pointent vers le ciel. La salle d’attente s’effondre.
En 1944, MEUREAU Nestor est le garde-salle de la gare de Waremme. C’est lui qui ouvre les portes de la salle d’attente, pour permettre aux voyageurs de sortir sur le quai. Il habite au n° 52 de l’avenue Emile Vandervelde.
En 1935, le dentiste MAGNEE Fernand exerce rue Gustave Renier à Waremme, dans la maison de l’architecte GONTHIER Richard, dont il a loué une partie du rez-de-chaussée. Le cabinet se trouve à l’arrière et la salle d’attente à l’avant, sur la rue. Il a apposé une plaque en cuivre sur la façade, à droite de la porte d’entrée.
Le 28 août 1944, après l’explosion de la bombe tombée à l’arrière du magasin de l’électricien PUTZEYS Louis, tout le coin de la rue Gustave Renier et de la rue de Huy est ravagé.
Le 28 août 1944, le dentiste MAGNEE Fernand soigne la commerçante en mercerie FRERE Marie, dans son cabinet de la rue Gustave Renier à Waremme. Deux autres personnes patientent dans la salle d’attente, MANGON Marie et une soeur Dominicaine.
En 1940, le dentiste MAGNEE Fernand, de Mouhin, loue le rez-de-chaussée de la maison de l’architecte GONTHIER Richard, rue Gustave Renier, pour y pratiquer son art. Son cabinet est situé à l’arrière de la maison et il utilise la pièce en façade comme salle d’attente.