Vers le 20 mai 1940, LAHAYE Georges, de Crisnée, est fait prisonnier par les Allemands. Il sera transféré par bâteau en Allemagne, au départ d’Anvers, via la hollande et le Rhin. Par camion, il parviendra au Stalag XIII A à Nuremberg. Il travaillera dans une scierie, puis en usine.
En 1975, la scierie « COLMONTS » d’Oreye, se spécialise dans la vente de matériaux de construction.
En (?), BONNECHERE Fernand, mari de COLMONTS Olga, reprend la scierie de son beau-père, à Oreye. Il la cèdera plus tard à son fils, BONNECHERE André.
En 1905, la scierie COLMONTS débute ses activités à Oreye.
En juillet 1912, FOLLON Joseph, dit « Djef », est maréchal-ferrant à Oreye. Son épouse est BRONE Augustine. A proximité de sa forge, il possède une grande scie actionnée par une locomobile.
Vers 1916, la scierie « COLMONTS » est installée au centre d’Oreye.
En 1916, le veuve de JOACHIM Henri est négociante à Waremme. Son commerce de « Bois et Matériaux de construction » est installé à la rue de Huy (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters). Son entreprise dispose d’une scierie mécanique. Elle fore des puits artésiens.
Elle vend:
En avril 1931, HAMBROISE Charles et HAMBROISE François sont marchands de bois. Ils exploitent une scierie-raboterie électro-mécanique rue de Saive (elle deviendra plus tard la rue de Huy), à Waremme. Ils vendent également des matériaux de construction.
En 1944, HOMBROISE Henri, de la Scierie « HAMBROISE » de la rue de Huy à Waremme, habite à la rue des Fabriques avec sa femme et sa fille. Il y cultive un potager.
Durant la Seconde Guerre Mondiale, VANANDEROYE Louis et son épouse Alphonsine sont les concierges de la Scierie « HAMBROISE » de la rue de Huy, à Waremme. Ils occupent un appartement au-dessus des bureaux de l’entreprise.
Alphonsine a des problèmes d’audition.