Raphaël Dubois, bourgmestre (Waremme)

Le 4 novembre 2024, suite élections communales du 13 octobre 2024, DUBOIS Raphaël (Pour Waremme) (tendance MR) est présenté comme bourgmestre à Waremme.

aura pour compétences:

  • population
  • état civil
  • sécurité (police et secours)
  • affaires générales
  • jumelages
  • associations patriotiques

Fuite de gaz (Waremme)

Le 28 février 2025, une voiture percute une pompe LPG à la station de l’aire d’autoroute à Waremme, entraînant une fuite de gaz. Le périmètre est rapidement évacué et les secours colmatent la fuite. Il n’y a aucune victime.

Les revenus des Communs Pauvres (Hodeige)

Vers 1730 (?), les revenus des « Communs Pauvres » s’élèvent à 91 muids, à Hodeige. Ces revenus sont de deux types:

  • Les revenus des Communs Pauvres proprement dits. Ils s’élèvent annuellement à 49 muids et 6 setiers, qui se distribuent aux seuls pauvres. On fait la distribution de ces revenus soit en grains, soit en argent, soit en secours en nature. Les secours en argent varient entre 3 patars et 10 florins. On donne aux malades de la viande, du vin, du pain blanc. On distribue des vêtements et de la houille. L’entretien des aliénés incombe à la caisse des Communs Pauvres, ainsi que la fourniture des drogues aux malades et des cercueils pour les défunts.
  • Les autres revenus, qui s’élèvent à 42 muids, s’appellent les « Revenus des Miches ». Ils sont distribués indistinctement (peut-être par abus !) à tous les habitants. Cette distribution de miches se fait pendant le Carême. Le curé lui-même y participe (pour cela, il reçoit 3 muids), mais par contre, il doit chanter, chaque vendredi de Carême, une grand-messe de requiem pour les défunts pauvres; Sur les revenus des Miches, on paie 4 setiers au marguillier pour les anniversaires de Carême, 6 setiers à l’église et 4 aux sonneurs. Le registre des Miches contribue également au paiement du prêtre qui doit dire la première messe les dimanches et les jours de fête (de 6 à 10 muids). Annuellement, l’instituteur reçoit 8 muids pour son salaire, ainsi que pour le chauffage des enfants en hiver, et le loyer de la maison servant d’école et de grenier. Le registre des Miches rétribue également l’habitant du village, dit « gardien » ou « herbier », qui conduit tous les porcs (élevés par chaque habitant du village) à la pâture sur les bois communaux. Pour cela, il reçoit 2 muids par an. Enfin, le mambour chargé de distribuer les secours et de faire les comptes (ordinairement le curé ou le prêtre prémissaire) reçoit comme salaire 8 muids chaque année.

La Mense des Pauvres

Au Moyen-Age, à côté de la charité monastique existe une charité paroissiale. Chaque paroisse a le devoir de secourir les indigents de sa communauté. Ce devoir est rempli par la « Table des Pauvres » ou « Table du Saint-Esprit ». L’administration de ce « bureau de bienfaisance » paroissial partage dans l’Histoire le sort de la Fabrique d’Eglise, à laquelle il est annexé. Le clergé paroissial en surveille les opérations et les laïcs de la paroisse (ordinairement les magistrats municipaux) font partie du Conseil en qualité de mambours.

Joseph Wauters crée une mutualité (Waremme)

Vers 1895, WAUTERS Joseph, de Waremme, fonde la première mutualité de secours pour les ouvriers malades et le premier syndicat d’ouvriers paveurs.

Habitants assistés (Hollogne-sur-Geer)

En 1832, 173 habitants de Hollogne-sur-Geer reçoivent des secours du Bureau de Bienfaisance du village.

Habitants assistés (Hollogne-sur-Geer)

En 1831, 132 habitants de Hollogne-sur-Geer reçoivent des secours du Bureau de Bienfaisance du village.

Lutte contre la petite vérole (Hollogne-sur-Geer)

Le 18 avril 1818, un arrêté, visant à combattre la propagation de la petite vérole, est pris pour les villages de la région de Hollogne-sur-Geer:

 » … Aussitôt que la petite vérole se manifeste dans une maison, il sera attaché, par les soins de la police, au-dessus de la porte d’entrée principale, un écriteau portant les mots – De par l’Autorité, Maison infectée de la petite vérole – Cet écriteau muni du sceau de la mairie restera suspendu aussi longtemps que la maladie règnera dans la maison.

A l’exception des ecclésiastiques, des médecins, des gardes-malades, personne ne pourra avoir des communications avec les maisons infectées.

Un enfant habitant la maison ne pourra avoir des communications avec d’autres enfants.

Le corps d’une personne morte de la petite vérole devra être promptement inhumée et au plus tard dans les deux fois 24 heures, sans que qui que ce soit puisse le recevoir à l’église.

Il est défendu, aux maîtres et maîtresses d’écoles et de pensionnats, de recevoir sous peine d’une amende de 3 à 10 florins, un enfant qui n’aura pas été vacciné.

Il est également fait défense aux établissements de charité d’accorder des secours aux familles qui négligent de faire vacciner leurs enfants. »