Le poste hollandais d’Oreye est attaqué

Dans la nuit du 22 au 23 septembre 1830, le poste, installé dans la campagne d’Oreye par des Hollandais venus de Maastricht pour couper les voies de communications et empêcher que des renforts liégeois arrivent à Bruxelles, composé d’infanterie d’infanterie et de cavalerie est attaqué par surprise par un détachement de révolutionnaires liégeois, notamment une douzaine de cuirassiers commandés par le Major MATHOT et par LUCAS Alexandre-Joseph et un détachement est commandé par CHARLIER, dit « Jambe de Bois », ancien artilleur de NAPOLEON. Un détachement, commandé par WASSEIGE Jean-Joseph, de 1.000 hommes a quitté Liège avec 2 pièces d’artillerie, par le Faubourg Sainte-Marguerite, avant de rejoindre une autre colonne, composée en partie de membres de la garde communale. 

L’engagement a lieu au lieu-dit « Chevenotte », à l’entrée du village de Thys. Une fusillade nourrie éclate. Le capitaine des cuirassiers, WELLE D. se distingue par son intrépidité.Du côté révolutionnaire, le nommé » BATAILLE est frappé à mort. 3 ou 4 autres sont blessés, dont le notaire de Liège, WASSEIGE J. B., atteint d’un coup de feu dans la poitrine, après avoir désarmé une sentinelle hollandaise. Du côté hollandais, les pertes sont plus considérables. Ils sont mis en déroute. Ils abandonnent le village et se retirent précipitamment vers Saint-Trond, en abandonnant des armes, des munitions, des vêtements et plusieurs chevaux. plusieurs d’entre-eux sont faits prisonniers.

Dans un mouvement de panique, Monsieur COCHOUL, l’instituteur de Momalle, tombe dans le Geer. Il refroidira et perdra la vie peu après.

Une partie des volontaires liégeois rentre à Liège vers 8 heures du matin. D’autres, avec CHARLIER, dit « Jambe de Bois » installé sur l’affut d’un canon, poursuivent vers la Capitale, pour porter secours aux Bruxellois, rassemblés dans le Parc de Bruxelles; contribuer ainsi à la libération de la Belgique du joug hollandais et conquérir l’indépendance.

 

Cannibalisme dans les Andes (Uruguay)

Le 13 octobre 1972, un avion s’écrase dans la Cordillère des Andes. Les rescapés, dont la plupart appartiennent à l’équipe uruguayenne de rugby, attendent pendant 72 jours l’arrivée des secours. Pour survivre, ils mangent les cadavres de leurs camarades morts.

Recours à la Commission d’Assistance Publique (Waremme)

En 1931, en raison de la crise économique, la Commission d’Assistance Publique de Waremme décide que les secours seront réservés aux seuls chômeurs non assurés, les autres émargeant aux caisses de chômage.

Plus d’aide pour les mendiants « de profession » (Waremme)

En 1912, le Bureau de Bienfaisance de Waremme refuse les secours aux mendiants de profession.

Les indigents doivent envoyer leurs enfants à l’école (Waremme)

Dès 1863, les indigents de Waremme sont sommés d’envoyer leurs enfants à l’école, sous peine de voir supprimés les secours qui leur sont accordés.

Actions du Bureau de Bienfaisance (Waremme)

En 1862, le Bureau de Bienfaisance de Waremme octroie des aides à une bonne partie de la population :

  • 55 ménages bénéficient de bons de chauffage,
  • 67 de secours hebdomadaires,
  • 231 (regroupant 2.087 personnes) du secours gratuit de médecins et de pharmaciens.

De plus, ce bureau assure l’instruction gratuite de 198 élèves et une pension à une cinquantaine de vieillards et d’infirmes.

L’aide du Bureau de Bienfaisance aux indigents (Waremme)

Le 7 mai 1846, en raison de la crise de l’alimentation dans la ville, le conseil communal de Waremme accorde l’autorisation au Bureau de Bienfaisance de la commune, de retirer de la Caisse d’Epargne une somme de 3.000 francs, destinée à l’achat de pommes de terre et autres secours en faveur des indigents. Cette autorisation est accordée sous la condition expresse que la moitié au moins de cette somme soit employée à l’achat de pommes de terre pour la plantation.