Olivier Mazy, employé (Waremme)

En septembre 2018, MAZY Olivier est âgé de 52 ans. Il est employé dans le secteur de la sécurité industrielle.

Armand Crevits, conseiller (Geer)

En octobre 2016, CREVITS Armand est conseiller en environnement et en sécurité, au sein de l’entreprise « Hesbaye Frost » de Geer.

Les installations ferroviaires sont gardées (Waremme – Allemagne)

Durant la Seconde Guerre Mondiale, en raison de la multiplication des actes de sabotage sur le territoire de Waremme, les Allemands décrètent que des hommes âgés de 18 à 50 ans doivent être réquisitionnés pour monter la garde, la nuit, afin de garantir la sécurité des installations ferroviaires.

La Police Administrative (Waremme)

En mai 2015, le service de Police Administrative de la ville de Waremme veille au maintien et à la restauration de l’ordre public; il assure également la propreté, la salubrité, la sécurité et la tranquilité publique.

Le chef de ce service est GILLIS Michel, assisté de l’agent constatateur BADA Omer.

L’avoué au 11ème siècle (Waremme – Liège)

Au 11ème siècle, un avoué est un seigneur auquel une institution religieuse (cathédrale, collégiale, abbaye, …) ou un propriétaire de grands domaines, confie la défense de ces domaines.

Son devoir est de protéger les personnes contre tout acte de violence et les biens contre toute usurpation. Il peut ainsi repousser la force par la force, car l’action des Cours de Justice ne suffit pas pour assurer la sécurité des individus et la conservation des propriétés.

La piste cyclable supprimée (Waremme)

En 1948, le Conseil Communal de Waremme vote la suppression de la piste cyclable de la rue Saint-Eloi, pour assurer la sécurité des usagers.

Une « Garde Bourgeoise » (Waremme)

Le 13 novembre 1918, le bourgmestre faisant-fonction de Waremme, JOACHIM Guillaume, institue une « garde bourgeoise » pour assurer la sécurité de la population. En effet, la gendarmerie n’est pas encore de retour dans la ville.

Cette garde est composée d’hommes âgés de 21 à 45 ans. En sont exemptés les médecins, les pharmaciens, les prêtres, les religieux, les malades et ceux qui en sont empêchés par leur profession.

Le bourgmestre déclare que ce service est obligatoire et que des peines sont prévues en cas d’absence injustifiée.

La police « branchée » (Waremme)

En août 1987, la police de Waremme est dotée d’un matériel informatique et de radiocommunication qui doit permettre à la cité hesbignonne de jouer un rôle de ville-pilote en matière de sécurité.

Le commissaire est PERSAIN Christian et le commissaire-adjoint MICHELET Alain.

Danger rue de Huy (Waremme)

Le 30 mai 1988, le conseiller COEN Jules attire l’attention du conseil communal sur la sécurité rue de Huy, particulièrement à hauteur du viaduc.

Le groupe « Interpolices » de Waremme

Le 16 mai 1989, les 15 bourgmestres des communes qui font partie du groupe « Interpolices » de Waremme, se réunissent à l’hôtel de ville de Waremme, en vue d’encourager la coopération entres les différents services d’ordre (polices communales, police judiciaire et gendarmerie), afin d’améliorer la sécurité des citoyens de l’arrondissement.