La Police Administrative (Waremme)

En mai 2015, le service de Police Administrative de la ville de Waremme veille au maintien et à la restauration de l’ordre public; il assure également la propreté, la salubrité, la sécurité et la tranquilité publique.

Le chef de ce service est GILLIS Michel, assisté de l’agent constatateur BADA Omer.

L’avoué au 11ème siècle (Waremme – Liège)

Au 11ème siècle, un avoué est un seigneur auquel une institution religieuse (cathédrale, collégiale, abbaye, …) ou un propriétaire de grands domaines, confie la défense de ces domaines.

Son devoir est de protéger les personnes contre tout acte de violence et les biens contre toute usurpation. Il peut ainsi repousser la force par la force, car l’action des Cours de Justice ne suffit pas pour assurer la sécurité des individus et la conservation des propriétés.

La piste cyclable supprimée (Waremme)

En 1948, le Conseil Communal de Waremme vote la suppression de la piste cyclable de la rue Saint-Eloi, pour assurer la sécurité des usagers.

Une « Garde Bourgeoise » (Waremme)

Le 13 novembre 1918, le bourgmestre faisant-fonction de Waremme, JOACHIM Guillaume, institue une « garde bourgeoise » pour assurer la sécurité de la population. En effet, la gendarmerie n’est pas encore de retour dans la ville.

Cette garde est composée d’hommes âgés de 21 à 45 ans. En sont exemptés les médecins, les pharmaciens, les prêtres, les religieux, les malades et ceux qui en sont empêchés par leur profession.

Le bourgmestre déclare que ce service est obligatoire et que des peines sont prévues en cas d’absence injustifiée.

La police « branchée » (Waremme)

En août 1987, la police de Waremme est dotée d’un matériel informatique et de radiocommunication qui doit permettre à la cité hesbignonne de jouer un rôle de ville-pilote en matière de sécurité.

Le commissaire est PERSAIN Christian et le commissaire-adjoint MICHELET Alain.

Danger rue de Huy (Waremme)

Le 30 mai 1988, le conseiller COEN Jules attire l’attention du conseil communal sur la sécurité rue de Huy, particulièrement à hauteur du viaduc.

Le groupe « Interpolices » de Waremme

Le 16 mai 1989, les 15 bourgmestres des communes qui font partie du groupe « Interpolices » de Waremme, se réunissent à l’hôtel de ville de Waremme, en vue d’encourager la coopération entres les différents services d’ordre (polices communales, police judiciaire et gendarmerie), afin d’améliorer la sécurité des citoyens de l’arrondissement.

L’agent de quartier (Waremme)

En juillet 1985, le rôle d’un agent de quartier à la police de Waremme est avant tout préventif. Sa mission essentielle est d’empêcher que des infractions soient commises ou que des accidents de toutes natures surviennent.

Son rôle social est indéniable. Il doit veiller à la sécurité des personnes et des biens. Il doit renseigner, conseiller, assister, écouter et aidés les administrés.

Rassemblement de « mayeurs » (Waremme – Wallonie)

En mai 1984, 164 mayeurs, venus des quatre coins de la région francophone, assistent à la conférence des bourgmestres de Wallonie, qui se tient à Waremme.

Les thèmes abordés sont:

  • les conditions du redressement financier des communes
  • l’impact des intercommunales, régies, ASBL et CPAS sur les budgets communaux
  • les problèmes de personnel et d’emploi dans les administrations locales
  • les coûts de la sécurité
  • l’enseignement communal.

Création de milices rurales (Liège)

erard de la marck prince-évêque

erard de la marck prince-évêque

En 1518, le Prince-Evêque DE LA MARCK Erard met sur pied une véritable « Milice d’Etat », pour poursuivre et arrêter les mauvais garçons qui passent la frontière, détroussent les marchands et brûlent les fermes. Il enrôle tous les hommes valides de 18 à 60 ans, qui constituent, à travers le pays, une force potentielle de 6000 défenseurs.

Avec leurs armes de fortune, ils sont chargés, à l’appel des officiers du Prince, d’assurer la sécurité de leur village, de leur région, voire de participer à la défense des frontières en cas d’attaque du pays.

Ces milices rurales, armées de bric et de broc, jouent un rôle non négligeable dans la protection et le maintien de la sécurité locale. Elles peuvent même tenir en respect ou jouer un effet dissuasif sur une troupe de mercenaires pas trop nombreuse et pas trop motivée.