En 1763, OGER Louis est sellier à Waremme. Son épouse est DUMONT Anne-Marie.
Il habite avec:
- OGER Louis, son neveu, manouvrier à journée, âgé de 18 ans.
En 1763, OGER Louis est sellier à Waremme. Son épouse est DUMONT Anne-Marie.
Il habite avec:
En 1763, DEBOUNY François est sellier, à Waremme. Son épouse est PETERS Jeanne-Anne.
Il habite avec:
En février 1940, VANDER VELPEN Emile exploite une tannerie-corroirie au n° 28 de la rue Emile Hallet à Waremme. Il vend des cuirs pour bourreliers et selliers.
Le commerce a été créé en 1889.
En 1763, quelques métiers de Waremme:
En 1763, les professions exercées par les hommes sont les suivantes :
En 1763, les journaliers et journalières waremmiens sont 143. Ils représentent 41,5% des travailleurs. Lorsqu’on parle de journalier, on entend traditionnellement l’ouvrier agricole à qui on confie les petits emplois les moins bien payés. Mais à Waremme, il n’y a que 12 cultivateurs recensés, qui ne peuvent employer une telle quantité de main d’œuvre. En fait, le journalier est un ouvrier payé à la journée dans n’importe quel domaine, sans attache avec un employeur particulier. Souvent sans qualification, il est d’une grande mobilité professionnelle. La plus grande partie des journaliers travaillent à domicile, chez un autre journalier disposant d’un plus grand local ou même dans une sorte d’atelier public, mis à sa disposition par un fabricant. Les journaliers louent leurs services au gré des demandes et des saisons. Ces journaliers « travailleurs à domicile » n’exécutent que la fonction technique, la fonction économique reste l’apanage du marchand dont ils dépendent pour obtenir les matières premières et les commandes. Ils sont donc économiquement subordonnés à ce marchand.