Manifestation à Waremme

Le 16 mars 1952, une grande manifestation, placée sous le signe du Patriotisme et du Civisme, se déroule à Waremme.

Un cortège se forme à l’avenue Guillaume Joachim, se dirige vers la place de la Porte de Liège, emprunte l’avenue des Platanes (qui deviendra plus tard l’avenue Henri Monjoie), la rue des Boulevards (qui deviendra plus tard la rue des Remparts), la rue Hubert Stiernet, la rue Joseph Wauters, la rue Zénobe Gramme, la rue Emile Hallet, la place Ernest Rongvaux, l’avenue Reine Astrid et, enfin, la place du Roi Albert 1er.

Le « Tout Waremme » y participe, le conseil communal dans son entier, mais aussi de nombreux hommes politiques, les vices-présidents de la Chambre et du Sénat, des sénateurs, des députés provinciaux, des bourgmestres. Les associations patriotiques sont également représentées.

LEBURTON Edmond prend la parole pour réclamer justice dans l’Affaire Doyen.

Réunion en vue de créer une ligne vicinale entre Waremme et Tongres

Le 24 décembre 1888, se tient une réunion à laquelle participent les sénateurs et les députés des arrondissements de Tongres et de Waremme, ainsi que  le Collège des bourgmestre et échevins des deux villes. Ils décident de soutenir la création de la ligne vicinale de Waremme à Tongres, via Oreye, Oleye, Lantremange, Bergilers, Grandville et Lens-sur-Geer.

Mort de Jules César (Rome)

CESAR JulesLe 15 mars – 44 (ACN), lors des Ides de Mars, un groupe de 60 à 80 sénateurs romains conjurés décide de se débarrasser de CAESAR (CESAR) Caïus Julis (Jules), qui doit entamer à l’Est une compagne contre les Parthes et qui sera donc inatteignable pendant tout un temps.

Ne prenant pas au sérieux les mises en garde des devins, CESAR se rend donc à la Curie, siège du Sénat. Il prend place sur son siège d’or (juste à côté de la statue de POMPEE, son adversaire malheureux) et les conspirateurs se rassemblent près delui. Au moment de lui présenter une requête, l’un d’eux se saisit de ses jambes pour l’empêcher de bouger. CASCA Publius Servilius est le premier à frapper. CESAR recevra ensuite au moins 23 coups de poignards.

Les conspirateurs croient avoir réussi leur coup, mais ils ne pourront pas rallier la majorité des Romains. Dans les mois qui suivront, la plupart d’entre eux connaîtront une mort violente.

A l’issue de l’inévitable guerre civile qui s’installe, OCTAVE vainvra son dernier opposant, MARC ANTOINE, et sera sacré premier Empereur de Rome, sous le nom d’AUGUSTE.