Le 7 août 1944, MOËS Julien, de Lamine, est arrêté par les Allemands. Il est emmené, pieds nus, dans le village, un sac sur la tête pour dissimuler son visage en sang, conséquence des coups reçus lors de son arrestation.
Il sera emmené à la Kommandantur de Huy, puis au siège de la Gestapo à Liège, avant d’être incarcéré à la prison Saint-Léonard.
Il a été dénoncé par LONGREE André, fait prisonnier lors du combat de Lamine, le 16 juin 1944. Ce dernier a révélé aux Allemands qu’une importante cache d’armes était située dans la maison « Moës ».