Le 6 mai 2024, le conseil communal de Crisnée annonce son projet de réaliser 4 terrains de padel, un terrain de tennis et une cafétéria sur le site de la « Fun Zone ». Elle lancera un appel à candidats au mois d’août.
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Achat d’un immeuble pour la police (Waremme)
Le 26 août 2024, le bourgmestre de Waremme, CHABOT Jacques, annonce en séance de Conseil Communal la décision d’acheter l’immeuble à appartements, qui se trouve à côté de l’implantation de la police, située rue du Tram (historiquement, ces quatre logements étaient destinés aux gendarmes qui travaillaient juste à côté) et de les transformer en bureaux, pour regrouper tous les policiers de la ville sur le site. Le prix de cet achat est de 730.000 euros, hors frais.
Christophe Génard, artisan verrier (Crisnée – Seraing))
En novembre 2023 et septembre 2024, GENARD Christophe, de Crisnée, est artisan-verrier. Il est installé sur le site du Val-Saint-Lambert à Seraing.
Rencontre d’été (Waremme)
Le 27 juin 2019, le Club d’Entreprises de Waremme organise ses traditionnelles « Rencontres d’Eté » sur le site du « Beach Volley ».
Réouverture au public de la réserve naturelle (Waremme)
En avril 2021, le Conseil d’Administration de la Réserve Naturelle du Haut-Geer décide de rouvrir la Réserve aux visiteurs, une matinée (de 8h30 à 12h00), le samedi, toutes les 2 semaines. Les chiens ne seront plus admis et les activités sportives (ex: jogging) interdites. Le comportement des visiteurs sera observé. Le but est de rouvrir normalement le site le 15 juillet.
Pour mémoire, le site a été fermé le 25 mars suite au constat de nombreuses incivilités.
Travaux sur le site de la Villa Renwart (Waremme)
Le 2 avril 2021, la société « DAVID Lucas » entame la première phase de la démolition de la Villa Renwart, rue de Huy à Waremme. Un nouvel immeuble à appartements y sera érigé, mais la façade de la villa sera bien conservée.
MAQUET Charles est en charge du chantier. HOCK Benoit est l’architecte.
Les murs non porteurs seront cassés, les planchers et les plafonds (complètement pourris) seront arrachés. Le but est de conserver au maximum l’atmosphère de la villa. Les pierres bleues et les briques seront récupérées pour la rénovation, afin de lui rendre son cachet d’autrefois.
Au total, 35 appartements vont être aménagés sur le site. A côté de la villa, trois volumes différents, plus contemporains, abriteront des logements de 2 ou 3 chambres.
Des garages, des car-ports et des emplacements de parking seront aménagés.
La villa rénovée embellira l’entrée de Waremme par la rue de Huy.
La ferme en carré d’Oreye
En 1981, un agréable site de prairies, parcourues par le Geer et plantées de peupliers, abrite la ferme en carré, en bordure de la rue des Combattants à Oreye. Elle a la forme d’un quadrilatère en brique et pierre calcaire, couvert de tuiles.
Au Nord, un pont enjambe un fossé comblé, reste de douves qui entouraient la ferme, et conduit à un haut bâtiment de deux niveaux, qui cumule les fonctions de logis et de porche d’entrée. Une porte à deux vantaux, couronnée par un arc surbaissé et un linteau droit sur piédroits chaînés, s’ouvre sur un passage charretier qui mène à la cour. Cette porte était protégée par un pont-levis; de larges encoches, permettant le passage des chaînes ou des cordes, sont encore visibles aux angles supérieurs de la feuillure. Trois fenêtres, sans doute agrandies au 18ème siècle, à linteaux en tas de charge et montants harpés, éclairent la partie habitable du porche, accessible par une porte chaînée depuis le passage charretier. Deux jours carrés, surmontés d’arcquettes de décharge, à gauche de la porte, indiquent l’aspect initial des percements. Des ouvertures du même type persistent sur l’un des pignons. Côté cour, un décrochement marque le côté gauche du bâtiment, qui présente également des fenêtres aux linteaux en tas de charge.
Un bâtiment, d’un niveau inférieur, et servant actuellement de logis, jouxte l’entrée. Défiguré par des percements récents effectués de façon irrégulière, il présente les traces de petites fenêtres rectangulaires sous arcquettes de décharge et d’une porte. De nombreux aménagements intérieurs ont, heureusement, été épargnés:
- une belle cheminée de pierre, dont les montants portent l’inscription « ANNO 1619″;
- dans l’une des vastes caves jaillit une source d’eau potable;
- une lucarne en bâtière, qui possède encore son système de poulie, permet d’accéder au grenier.
La grange en double large occupe le côté Ouest du quadrilatère. Son imbrication maladroite dans les autres bâtiments et les traces de fenêtres, dans le pignon du logis contre lequel elle s’appuie, indiquent une construction plus récente.
Dans l’aile Sud, les étables sont couvertes de plafonds plats en bois et de fenils.
A l’Est, il ne subsiste qu’un chartil, couvert d’une bâtière à coyau et croupette, prolongé, côté cour, par un appentis sur piliers de ciment.
Au centre de la cour, le fumier est devenu pelouse.
Le site des Cinq Tombes (Omal)
En 1994, le site des « Cinq Tombes d’Omal » est situé en bordure de la chaussée romaine, entre Waremme et Braives.
4 de ces tumulus sont alignés au Nord de la route, masqués par un bosquet d’arbres et de hautes broussailles. Le site est clôturé. Hauts de 4 à 5 mètres, ils sont de plan irrégulièrement ovale. Le tumulus n° 1 est le plus petit, avec des axes de 21 m sur 17m50. Les tumulus du milieu, n° 2 et n° 3 sont défoncés par de grands trous et ils présentent des axes de 23m sur 26 m. Le tumulus Ouest, n° 4, a des axes de 23 m sur 26 m.
Le 5ème, au Sud, est isolé et bien visible. Il est également de forme ovale avec des axes de 20m sur 22m80. Il présente une hauteur de 5m20.
Classement du tumulus de Celles-Saives
Le 6 décembre 1976, un Arrêté Royal classe comme site protégé le tumulus de Celles-Saives, dit « La Tombe de Saives », caché dans un bois situé au centre de parcelles cultivées, au lieu-dit: « A la Tombe » ou « A la Tomballe ».
Eviter la disparition du tumulus de Celles-Saives
En 1903, le tumulus de Celles-Saives, dit « La Tombe de Saives », caché dans un bois situé au centre de parcelles cultivées, au lieu-dit: « A la Tombe » ou « A la Tomballe », a déjà diminué de plus de la moitié de sa hauteur.
La Commission des Monuments et Sites entreprend des démarches pour le faire acquérir par l’Etat. Elles n’aboutiront pas, mais auront le mérite d’arrêter la destruction du site.