Entre 1914 et 1918, l’Orphelinat Saint-Joseph pour garçons à Geer est d’abord utilisé pour soigner 200 soldats belges blessés dans les forts de Liège. Ensuite, les Allemands y établiront un hôpital. Et enfin, la Croix-Rouge s’y installera et y soignera des blessés belges, allemands, anglais et russes.
Archives par mot-clé : soldats
La déclaration de guerre (Verlaine)
En 1914, lors de la déclaration de la Première Guerre Mondiale, les cloches de l’église du village de Verlaine retentissent à minuit. C’est le signal de l’appel des mobilisés. Les soldats partent immédiatement. (Il y aura également 3 engagés volontaires).
Les Allemands traversent Verlaine
Le 14 août 1914, les troupes allemandes traversent Verlaine, sans heurt. Le curé du village a recommandé aux villageois d’éviter tout acte d’hostilité, qui pourrait provoquer des représailles des soldats ennemis.
Les réserves du curé pillées (Waremme)
En septembre 1702, des soldats pillent les réserves de grains (les récoltes) qui reviennent au curé de Waremme. (?)
Des soldats à Waremme
En novembre 1803, le 92ème Régiment de Ligne est stationné à Waremme.
Des soldats hollandais à Waremme)
Le 3 février 1595, WITS (?), dit « Demolle », qui commande une troupe de soldats hollandais, partie de Bréda, en laisse 26 à Waremme.
La bataille de Brustem
Le 28 octobre 1467, la bataille de Brustem se déroule près de Saint-Trond, entre l’armée de la Principauté de Liège et les forces du duc de Bourgogne CHARLES LE TEMERAIRE, dans le cadre de la Seconde Guerre de Liège. Les Liégeois laisseront de 3 à 4 000 morts sur le terrain.
CHARLES LE TEMERAIRE marchera sur Liège et s’y livrera au pillage.
Bivouac américain (Bleret)
En 1944, à la Libération, un bivouac de militaires américains, manutentionnaires de munitions, s’installe à Bleret.
Vestiges romains (Momalle)
En mars (?) 1850, des vestiges romains sont découverts dans une terre de Monsieur ROSE, à Momalle. (Lui et ses deux frères ont été grenadiers dans la Grande Armée).
Des troupes campent à Oleye
En 1746, des troupes s’installent à Oleye, à plusieurs reprises, et se livrent à des exactions. Elles doivent être nourries par les habitants.
Le mayeur du village est LEJEUNE Gilles-Jean-François.