Les Panzers allemands entrent dans Waremme

Le 12 mai 1940, dimanche de Pentecôte, vers 5 heures du matin, les chars du 35ème Panzer-Regiment de la Wehrmacht, quittent Grandville où ils ont passés la nuit. Ils se dirigent vers Waremme et y pénètrent  pendant que le doyen AANDEKERK dit la première messe. Ils ont été précédés par trois engins de reconnaissance. Ils ne rencontrent pas de grande résistance.

Une fusillade éclate dans le quartier de la Porte de Liège. Plusieurs soldats belges sont abattus. Les Allemands laissent les cadavres alignés sur le trottoir, pour dissuader ceux qui auraient encore des velléités de résistance. Deux motards belges, en side-car ouvrent le feu sur les Allemands, à la mitraillette. Ceux-ci ripostent à la mitrailleuse lourde. Les deux intrépides sont blessés et faits prisonniers.

On se bat à Waremme

Les 7 et 8 août 1914, des accrochages ont lieu dans la ville entre soldats belges et allemands.

Les soins aux blessés s’organisent (Waremme)

Le 6 août 1914, la Croix-Rouge de Waremme prodigue des soins à plusieurs centaines de soldats belges : pansements provisoires pour certains et hospitalisation pour les plus atteints. Les locaux du Collège Saint-Louis deviennent rapidement trop exigus. Il faut transporter une partie des hospitalisés aux centres secondaires « DE SELYS-LONGCHAMPS » et « WAROUX ».

Des soldats belges sont de retour (Waremme)

Le 6 août 1914, des soldats belges reviennent à Waremme, hébétés et désorientés après les premiers combats. Ils repartiront le lendemain.

Des soldats sont logés à Waremme

Début août 1914 (après le 6), 350 soldats belges sont logés à l’Institut des Filles de la Croix, rue de Huy à Waremme (qui deviendra plus tard la rue Joseph Wauters).