Le 10 mai 1940, des soldats allemands, des premières troupes d’invasion, font halte à l’église d’Oreye. Ils pénètrent également cher VERVOIR Alphonse et dans les petits magasins du village. Ils raflent des victuailles en tous genres, des cigarettes, du chocolat, des friandises, …
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Intrusion dans la maison abbatiale (Oreye)
Vers 1100 (?), dans la nuit de la Saint-Lambert, l’avoué de l’abbaye de Saint-Trond, DE DURAS Gislebert, envahit la maison abbatiale d’Oreye avec 20 écuyers.
Mise à sac d’Oreye
Vers 1100 (?), après avoir logé une nuit, avec 12 hommes, dans la maison du Mayeur d’Oreye ROBERT, les avoués de l’Abbaye de Saint-Trond, DE DURAS Gislebert et DE DURAS Otton dévastent la ferme de l’abbaye, brûlent les haies et mettent à sac les granges et les greniers du village.
Incendie de Waleffe-Saint-Georges
Après 1204, le Duc DE BRABANT Henri 1er conteste la donation du Comté de Moha au Prince-Evêque de Liège, DE PIERPONT Hugues. Il s’attaque au Pays de Liège et à Tongres. Ses soldats incendient le village de Waleffe-Saint-Georges, également appelé « Waleffe-le-Château ».
La chapelle incendiée (Saives)
En 1672, la chapelle « Notre-Dame » de Saives est incendiée par les troupes françaises et hollandaises. Elle est totalement détruite. Les fidèles du hameau se rendront à l’église de Celles ou à celle de Grand-Axhe.
Les Français campent (Hollogne-sur-Geer, Grand-Axhe, Saives)
Les 14 et 15 mai 1672, l’armée française de LOUIS XIV campe entre Hollogne-sur-Geer, Grand-Axhe et Saives. Elle y cause beaucoup de dommages. Les soldats pillent et incendient tout sur leur passage. 17 maisons sont la proie des flammes. Les paysans doivent se réfugier dans les clochers fortifiés des églises.
Les habitants fuient Borlez
En 1692, les habitants de Borlez sont forcés d’abandonner le village, en raison des exactions de l’armée des Alliés contre la France, forte de 80.000 hommes, qui campe à l’Est de la Mehaigne.
Aineffe exempté de charges
En 1641, le village est exempté d’une partie de ses charges (impôts et taxes), en raisons des réquisitions qu’il a dû souffrir lors du passage des troupes.
L’avoué, chef militaire
Durant la Période Carolingienne, l’Avoué emmène le contingent d’hommes d’armes, fourni par l’Evêque ou l’Abbé, à l’armée royale et en assure le commandement.
Plaque commémorative à Momalle
Le 16 mai 1919, le conseil communal de Momalle décide de faire graver une plaque commémorative portant les noms de soldats du village, morts pendant la Guerre:
- BERNARD Félicien
- BOVY Lambert