Quelques Waremmiennes en 1856

En 1856, LISMONTE Marie-Catherine est boulangère, STASSEN Victorine est négociante ; les deux sœurs, PERGAY Valériane et PERGAY Sophronie sont rentières.

Une école pour filles est crée par les soeurs Pergay (Waremme)

En 1803, en raison de la fermeture du Couvent des Sépulchrines, sous le Régime français, le Conseil Communal se préoccupe également beaucoup de doter Waremme d’un nouvel établissement d’enseignement réservé aux jeunes filles. Ses efforts aboutissent avec la création d’une école dirigée par les demoiselles PERGAY Valériane et PERGAY Sophronie.

Le Conseil Communal leur accorde un subside annuel de 700 francs. L’accord leur impose d’adjoindre à leur pensionnat une école primaire pour filles. L’une des sœurs sera, par la suit, nommée institutrice communale et sera rétribuée comme telle. (Sur le plan Popp, elles sont propriétaires à la rue du Pont et sont qualifiées de « rentières ».)