En 1836, un Christ en Croix est implanté à gauche de l’entrée du cimetière de Momalle.
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Nouveaux bâtiment chez les soeurs (Waremme)
En 1925, la congrégation des Filles de la Croix de Waremme fait construire une petite bâtisse, près de la prairie. Elle comprend une étable voutée, un fenil, une porcherie, une pièce avec cheminée pour la cuisson de la nourriture du bétail.
La façade donne sur le jardin et présente une niche, réservée à la statue de Saint-Benoit.
Les travaux sont réalisés par l’entrepreneur STAS François, de Bergilers.
Mort de Donatello (Italie)
Le 13 décembre 1466, DI NICCOLO Donato, dit « Donatello », décède à Florence, en Italie. Il a été le plus grand sculpteur de la Première Renaissance. Il a été aussi à l’aise avec le bois, le bronze, la pierre ou l’argile.
Il a sculpté, notamment, la statue en bronze « David », exposée au Musée National du Bargello à Florence.
Une statue de Saint-Hubert pour l’église Saint-Pierre (Waremme)
En 1886, les paroissiens de l’église Saint-Pierre de Waremme offrent à leur église une statue de Saint-Hubert (second patron de l’église), en reconnaissance du zèle déployé par le doyen SAAL, pour la construction et l’ornementation de la nouvelle église
Cette statue est placée dans le bras gauche du transept de l’église.
Portrait de Emilio Lopez Menchero, créateur de la statue de « L’Homme Bulle » (Waremme)
Quelques commentaires inscrits sur l’Homme Bulle, dans le cadre de « Aux Arts Etc », alors que la sculpture campait à Waremme, non loin de l’Hôtel de Ville :
« Rien qu’un homme à la rue qui attend comme la cloche que quelqu’un d’autre lui dise pourquoi il est là ». « Cultures-tu ? ». « Porte-parole ouvert à tous ». « Veux-tu m’épouser ? ». « Super le Centre culturel de Waremme, l’équipe est géniale, les spectacles de qualité. Dommage que ces gens soient mal payés ! ». « On t’aime Papa ! ». « Sacré Jacky ! ». « Surtout ne pas se dégonfler ». « Tout le monde s’appelle Roger ».
Les Waremmiens, on le voit, s’en sont donné à cœur joie. Ils ont tagué à volonté la bulle de l’« Homme Bulle » de MENCHERO Emilio López. Ils l’ont même tatoué d’une grande marguerite, d’un monumental point d’interrogation, ont débordé sur son costume trois pièces, l’ont affublé de moustaches et ont redessiné ses yeux. « Bulle à savon, bulle à idées, attention ça glisse ». Bref, ils se l’ont approprié. Après avoir été installé à Bruxelles et avant de rallier Liège, l’ « Homme Bulle » était à Waremme, campant dos à l’hôtel de police et face à l’Hôtel de Ville.
Architecte de formation, MENCHERO Emilio López ne pratique pas, mais considère l’espace public et urbain comme un espace critique et y intervient régulièrement. Performances, installations, commandes publiques jalonnent son parcours. On le soupçonne de vouloir tatouer la Spanner Haus d’Adolf Loos. Très sévère par rapport à toutes les dérives que le « Crime et ornement »de l’architecte viennois a généré, il cite volontiers Hans Hollein et son Manifeste de 1968 : « Alles ist Architektur ». Tout est architecture, y compris la construction de soi. Ainsi, il habite la ville de Gand du cri de Tarzan, exporte, en guise de bancs publics, des frites géantes en Norvège, dessine une bâche de camion dont il mesure la capacité maximum à échelle humaine, constatant que deux cents individus, serrés en rangs d’oignons, pourraient y prendre place. À Ixelles, il reconfigure la friche de la place Flagey en « projet Potemkine », dressant, en quelques heures, une rue de toiles à la manière des faux villages prospères érigés par le favori de Catherine II en Ukraine. À Ath, il introduit un géant, Monsieur M, monsieur Moderne, au cœur de la procession des géants séculaires de la cité. On lui doit, bien sûr, « Pasionaria », ce porte-voix monumental installé à proximité de la gare du Midi à Bruxelles. Orientée vers la gare, ce lieu de confluence, référence à un épisode de la Guerre d’Espagne, « Pasionaria » matérialise la parole manifeste. Cette commande publique est dédiée à tous les migrants dans un lieu où se déroulent de régulières manifestations sociales et politiques.[i]
Monsieur Moderne, le géant d’Ath, ressemble à ces silhouettes anonymes esquissées par l’architecte théoricien Ernst Neufert, auteur des célèbres « Eléments des projets de construction », cette base méthodologique de la mesure de toute chose, de la norme et des prescriptions, publiée pour la première fois en 1936 à Berlin. Les silhouettes qui parsèment les croquis domestiques et vernaculaires de Neufert, traversent depuis longtemps déjà, les œuvres de MENCHERO Emilio López. L’ « Homme Bulle » leur ressemble aussi. Citadin en complet veston, il est, au même titre que le porte-voix bruxellois de la « Pasionaria », un espace relationnel. De sa bouche s’échappe un monumental phylactère. Bulle ronde, vide, immaculée, c’est une muette invitation. La sculpture n’est pas un objet à regarder, mais une situation à composer. L’œuvre est en quelque sorte inachevée et son achèvement plastique suppose que le spectateur y mette la dernière touche. Au stylo feutre, bien entendu, à la bombe aérosol. Rien n’est imposé, au contraire, c’est une situation ouverte, à l’état de passage, où l’intersubjectivité se révélera mécanisme de création, la nature processuelle de la réalisation faisant de l’œuvre un événement[ii]. Le graffiti, le tag, l’empreinte directe, sont autant de signes de la culture urbaine contemporaine ; ici, ils permettront de créer de l’« être ensemble ». Être ensemble, artiste et regardeur, être ensemble, grapheurs d’un jour, tagueurs d’occasion, rassemblés sur la bulle. Campé sur le trottoir, l’« Homme Bulle » est le porte-parole de la population. Il sollicite le passant, lui propose de s’évader de ce tout ce qui est conforme, prescrit, recommandé, correct ou anonyme pour un moment de libre expression.
La place de Gérardmer sera rénovée (Waremme)
Le 14 février 2005, le conseil communal de Waremme approuve le projet de rénovation de la place de Gérardmer, pour un montant estimé à 549.402 euros.
L’ovale central, fait de bric et de broc, sera redessiné et comprendra de la végétation et une œuvre de DURIEZ Irénée : un bronze de femme nue assise les jambes croisées.
Le contour de l’ovale sera en béton imprimé et légèrement rehaussé. Des érables en boule seront plantés à l’extérieur de la place. Des « coussins berlinois » ralentiront les usagers, avenue Joachim, à l’entrée du rond-point. Des passages pour piétons, sur tarmac rouge, seront redessinés au bout de chaque rue aboutissant à la place. Des arrêts de bus sont prévus avenue Guillaume Joachim et rue Porte de Liège. Des vasques pour d’autres plantations agrémenteront les lieux.
Des statues d’Irénée Duriez à Waremme
Le 6 février 2004, le sculpteur flamand, DURIEZ Irénée, et un de ses collaborateurs, arrivent à Waremme au volant de leur camion.
Ils déposent quelques-unes de ses œuvres, des nus féminins, place de Gérardmer, avenue Edmond Leburton, avenue Reine Astrid et rue Gustave Renier.
Elles y resteront jusqu’au début du mois de mars.
Visite Royale à Waremme
Le 7 mars 2012, le Roi ALBERT II et la Reine PAOLA effectuent une visite à Waremme. Ils assistent à la prestation de serment des membres du Conseil Communal des Enfants, créé il y a 25 ans. Ils reçoivent en cadeau une statuette en terre cuite, réplique de la statue « Lison Qui Lit », installée place de l’Ecole Moyenne à Waremme. Après un bain de foule, ils rendent ensuite visite à l’école d’immersion linguistique de Bettincourt.
Début des travaux d’aménagement du « Parc du Tram » à Waremme
Fin septembre 2011, les travaux d’aménagement du Parc du Tram sont entamés sur le terrain situé à l’angle de la rue du Tram et de l’avenue Emile Vanderveld. Le parc sera orné d’un bronze d’une hauteur de deux mètres, représentant un papillon s’envolant. Cette statue est l’œuvre d’un artiste bulgare installé à Paris.
La Statue du Cheval de Trait Monté (Waremme)
Le 15 septembre 2010, une œuvre d’art, représentant un cheval de trait grandeur nature, monté par un petit garçon en culottes courtes et coiffé d’une casquette anglaise, est inaugurée dans le Parc des Mayeurs.
Elle a été réalisée au Sénégal par l’artiste DARDENNE Gatien, en compagnie d’enfants de la brousse. La sculpture est en tôle martelée d’une épaisseur de 2 mm. Elle a été traitée contre la rouille par une entreprise de métallisation d’Andenne.