En 1848, la première gare de Waremme (point d’arrêt), construite en 1838, est remplacée par un bâtiment de style « Néoclassique », conçu par l’architecte PAYEN Auguste.
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Reconstruction de l’église (Remicourt)
De 1909 à 1911, l’église Saint-Jean-Baptiste de Remicourt est reconstruite en Style « Néo-Gothique », en grès houillé, granit et pierre de Meuse. Elle est composée de trois nefs surmontées d’une tour. Elle remplace l’ancien édifice de 1770.
Agrandissement du donjon (Otrange)
Au 17ème siècle, une aile principale en briques et pierres calcaires est ajoutées au donjon en silex d’Otrange. Sa façade, orientée au Nord, est de style Renaissance Mosane. Elle est prolongée par une petite tour défensive munie d’orifices de tir pour les armes à feu. Le donjon est rehaussé de deux niveaux en briques.
Reconstruction du château (Rosoux)
Vers 1710 (?), le château de Rosoux est reconstruit dans un style d’inspiration classique.
Classement de l’église (Thys)
Le 15 octobre 1937, un Arrêté-Royal classe la tour, la nef centrale, la basse-nef droite et le choeur avec la tribune des orgues de l’église Saint-Pierre de Thys.
L’édifice est de style ogival tertiaire décadent. Contigu à la cour du château, il communiquait jadis avec celui-ci par une porte dans la nef et une porte dans le choeur.
La Salle de Vente Waremmienne
En 1954, la « Salle de Vente Waremmienne » est installée au n° 1 B de l’avenue Guillaume Joachim, à Waremme.
Elle propose des meubles neufs et d’occasion, de style et moderne:
- salles à manger
- chambres à coucher
- cuisines
- salons anciens et modernes
Elle reprend de l’ancien mobilier.
Modernisation de la gare (Waremme)
En 1912, les installations ferroviaires sont modernisées à la gare de Waremme. Le bâtiment (des recettes), qui a été érigé en 1848, est remplacé par une nouvelle construction, de style « Néo-gothique », plus spacieuse et mieux adaptée aux différents services offerts aux voyageurs. Elle a été conçue par l’architecte bruxellois VERMEULEN Adolphe. Elle en briques et en calcaire, reposant sur un soubassement en grès. La partie centrale abrite la salle « des Pas Perdus », qui est accessible par 3 portes jointives, ornées de linteaux en arcature trilobée. Des ailes symétriques en L, surmontées d’une toiture en ardoise, encadrent le bâtiment central.
On y trouve un café, un bureau du télégraphe et le bureau du chef de gare. A l’étage, un logement pour celui-ci et sa famille, lui permet d’être toujours disponible pour assurer le fonctionnement de l’infrastructure.
L’école primaire du Collège Saint-Louis (Waremme)
En septembre 1984, la nouvelle école primaire du Collège Saint-Louis de Waremme, d’un style résolument moderne, mais de caractère familial, accueille ses nouveaux occupants.
La réalisation de ce bâtiment a coûté 52 millions de francs (HTVA). D’une largeur de façade de 56 mètres et d’une profondeur de de 43 mètres, la nouvelle école comporte 6 classes et un préau couvert (pouvant être fermé) au rez-de-chaussée, 9 classes classiques et 2 d’adaptation, 1 médiathèque et 1 salle polyvalente à l’étage, en sous-sol, une salle de gymnastique, un réfectoire, les cuisines, une salle polyvalente pour garderie, réunion, … et les locaux techniques. Le nouvel établissement comporte 2 cours de récréation, l’une asphaltée et l’autre gazonnée.
Construction de la Villa « Renwart » (Waremme)
En 1927, l’homme d’affaires RENWART Pierre fait appel à l’architecte waremmien BRICTEUX pour construire une villa dans le style « Renaissance flamande », qui sera appelée « Villa Renwart » rue de Saives à Waremme (qui deviendra la rue de Huy). Construite en briques, calcaire et moellons, avec un toit en ardoises, elle est entourée d’un parc.
Construction de la chapelle « Saint-Pierre » (Waremme)
En 1711, l’abbé STEPHANI François, vicaire et prémissaire de Waremme depuis 46 ans, entreprend de faire construire une chapelle en l’honneur de Saint-Pierre, patron de la ville, « hors de la porte sur le chemin royal de Waremme à Saint-Trond, à l’endroit où son image a été reposante depuis un temps immémorial », au lieu-dit « A la Voye Saint-Pierre ». Les fonds nécessaires ont été fournis par quelques pieux bourgeois et surtout par le conseiller (communal ?) VANDER HEYDEN A BLISIA.
Le conseil de la ville a donné l’autorisation nécessaire à cet effet et s’engage à entretenir la chapelle aussi longtemps qu’elle subsistera.
(Elle sera reconstruite au 20ème siècle, en style plus moderne, suite aux dommages subis lors d’un accident de la circulation)